Avec la guerre d’Algérie, nous entrons dans un épisode de l’histoire de France où chacune de nos prises de position nous engage, pour ainsi dire, dans la guerre, comme si elle n’était pas finie. Et elle n’est pas finie...

C’est la trahison effroyable du gouvernement français qui permit au FLN d’étendre son insurrection et sa terreur. Trahie en hauts lieux, traînée dans la boue, l’armée renversera néanmoins la vapeur et sauvera la Chrétienté… au prix de son sang.

On revient ici sur les événements de 1958-1961 pour les analyser du point de vue de l’armée. Qu’aurait-on dû faire ? Quel esprit animait nos généraux ? La doctrine de notre Père permet d’apporter plusieurs éléments de réponse.

Frère Christian, médaillé militaire, fait partie de ces héros modestes qui ont participé à la guerre d’Algérie. Il relit son carnet de route, méticuleusement tenu dans le style sobre mais poignant des comptes rendus d’opérations.

Frère Gérard aussi fut volontaire pour l’Algérie. Le 6 octobre 1960, il est grièvement blessé au cours d’une opération particulièrement difficile, et manque d’y laisser la vie. Cette action lui vaudra une citation avec palme à l’ordre de l’Armée.

Comment Mgr Le Couëdic en est-il venu à chasser son meilleur prêtre de ses paroisses et du diocèse de Troyes ? La trahison de la Chrétienté d’Algérie avait été un signe de contradiction...

Frère Bruno réussit ici le tour de force de dégager des 2500 ans d’histoire de cette terre d’Afrique du Nord le dessein du Ciel : Le Bon Dieu veut que cette terre soit chrétienne et française. La vérité des faits nous le prouve.

Curé de Villemaur, Pâlis et Planty, mais aussi jeune fondateur d’une communauté de moines-missionnaires, l’abbé de Nantes déploie un zèle infatigable et nous laisse un modèle de pastorale paroissiale.

Le combat de notre Père, mis en parallèle avec le message de Fatima, est exposé pour ses 50 ans de sacerdoce dans un montage vidéo réalisé par nos frères et amis canadiens.

L’abbé de Nantes a accompli un parcours sans faute ! Pour s’en convaincre, il suffit de retracer sa vie et ses combats.

La Passion du Christ est toujours actuelle, nous exhortant à choisir notre camp : celui des victimes et des innocents et non celui des complices des criminels.

Enfant de l’Église par toutes les fibres de son être, notre Père ne peut que combattre pour la défense de la Chrétienté, car « il n’y a pas d’Église sans Chrétienté, comme il n’y a pas de Chrétienté sans Église ».