Notre religion est la seule qui se fonde sur le tragique de la vie, qui l’affronte, à la suite de son fondateur, Jésus crucifié...

Notre religion est un amour : le Sacré-Cœur de Jésus.

En 1908, le Père Lelièvre décida de corriger une anomalie : tous les hommes célèbres ont leur statue, pas le Sacré-Cœur ! Une fois ces statues installées solennellement, il eut l’idée d’y conduire en procession les foules…

Admirons l’héroïsme masculin de Jésus, de son Cœur épris d’une jalousie divine pour sa créature, qui s’est déchiré Lui-même sur la Croix pour la sauver.

L’histoire de Dieu avec nous, c’est une histoire d’amour que Jésus nous a racontée !

La leçon de la peste de Marseille en 1720 est claire : Notre-Seigneur veut être honoré publiquement dans son Sacré-Cœur par le peuple et les autorités constituées.

Le fond de l’âme du Père Lelièvre est une immense reconnaissance envers ses parents, sa congrégation et, bien sûr, la Sainte Vierge et le Sacré-Cœur.

C’est la grâce qui fit de ce jeune breton, excessivement timide et maladroit, un oblat et un grand prédicateur du Sacré-Cœur au Québec. Tout commença par les premiers vendredis du mois à l’église Saint-Sauveur à Québec...

Voici la leçon pleine d’espérance de la guérison et de la conversion de Marseille suscitées par l’intervention miraculeuse du Cœur de Jésus. Leçon que nous devons faire nôtre aujourd’hui en nous tournant vers le Cœur Immaculé de Marie.

Les dernières années de la vie du Père Lelièvre sont fort émouvantes. Ses forces diminuent peu à peu, mais pas son ardeur pour le Sacré-Cœur. Il s’éteint paisiblement le 29 novembre 1956.

La lecture d’un article de frère Thomas poursuit le récit de la peste de Marseille commencé par l’ouvrage d’Armand Praviel tout en le complétant, car il y a un grand absent dans son livre...

Plein d’humour, le Père Lelièvre n’en était pas moins exigeant. Pas de demi-conversion, pas d’apostolat sans efforts continus de sainteté, pas de vie religieuse ou sacerdotale sans une parfaite obéissance.

Laissons les mondains et les rationalistes qui méprisent la dévotion du Corps et du Cœur Sacré de Jésus et, avec saint Bonaventure, contemplons-les avec piété et dévotion : c’est notre salut !

À Québec, le Comité du Sacré-Cœur du Père Lelièvre et de Louis Émond est un modèle d’engagement des laïcs. La clé de leur réussite ? Leur consécration totale au Sacré-Cœur par Marie !

Frère Bruno explique comment la Sainte Vierge est au centre de notre foi (points 1 à 15), étant « notre Mère à tous, à jamais », et la manière dont il a inséré la dévotion au Cœur Immaculé de Marie dans les 150 Points.

Récit émouvant de la vie de Louis XVII, des brefs mystères joyeux du prince royal, enfant prédestiné, fils de saint Louis, aux mystères douloureux du martyr de la religion royale.

La découverte bouleversante de Jésus à Nazareth lors de son voyage en Terre sainte le mènera à la Trappe de Notre-Dame des Neiges, comme la plus proche de son idéal d’abjection.

Enfin, il nage dans un bonheur absolu, installant une fraternité à Béni-Abbès d’où rayonne sur les pauvres le Sacré-Cœur de Jésus : contemplation et bienfaisance, c’est la volonté de Dieu enfin réalisée !

Un pèlerinage en Terre Sainte déterminant pour Charles de Foucauld !

Visitons le château de Versailles, instrument politique conçu pour affirmer la puissance de la France et de son Roi ! Sans oublier qu’il fut le témoin silencieux d’un drame...

Jésus s’est acquis un trésor de grâces où Il désire que nous puisions sans cesse ! Il est notre palladium !

Le premier aspect du bonheur, c’est d’être l’ami de Jésus qui a voulu toutes nos amitiés pour nous donner le goût de la sienne !