Conférences de frère Bruno sur les grands procès faits à l’Église : Croisades, inquisition, procès des Templiers, procès Galilée. Merveilleux enseignement pour laver l’Église des odieuses calomnies de ses ennemis séculaires.

Dieu le veult ! À ce cri, les chevaliers francs, au prix de sacrifices inouïs, ont fait régner pendant deux siècles la paix chrétienne sur les Lieux saints.

La Croisade est attaquée de toutes parts. Mais le récit de cette sainte épopée qui souleva toute la Chrétienté pour sauver le tombeau du Christ puis établit un royaume franc pour deux siècles, force l’admiration !

Après le succès de la Première Croisade qui fonda l’empire du Levant, les luttes et rivalités intestines provoquèrent son effondrement, entraînant des croisades de reconquête sans lendemain... Mais l’histoire ne s’arrête pas là !

Frère Louis-Joseph dresse le portrait d’un saint accomplissant sa vocation royale en plénitude. Éclairant toutes les questions délicates, il nous dévoile le cœur de saint Louis, plein d’amour de Dieu, de la France, de l’Église et du cher prochain.

Saint Louis fit vœu de se croiser après sa guérison miraculeuse, tout pénétré de l’esprit de la première Croisade. Ayant sauvé pour un temps la Chrétienté franque de Syrie, il a conquis la Jérusalem céleste à Tunis !

Frère Bruno réussit ici le tour de force de dégager des 2500 ans d’histoire de cette terre d’Afrique du Nord le dessein du Ciel : Le Bon Dieu veut que cette terre soit chrétienne et française. La vérité des faits nous le prouve.

À partir du du XI^e siècle, la Chrétienté s’épanouit merveilleusement : nos nations chrétiennes s’affermissent sous l’influence des grands ordres religieux, grâce à l’action de grands rois et de sages pontifes, jusqu’à connaître l’apogée du treizième siècle, sous le règne de saint Louis.

Dans la personne du roi Saint Louis, qui reproduisit en son siècle l’image de Jésus-Christ, admirons la vocation même de la France, gage de sa résurrection !

Restant dans son bordj aux avant-postes de la Chrétienté, parfait stratège pour ses hommes, véritable moine-soldat, le Père comprend que la guerre est une Croisade contre Satan.

Autour de saint Louis, sa grand-mère, Isabelle de Hainaut, sa sœur Isabelle et son épouse, Marguerite, vont illuminer le règne de sainteté, de piété, de beauté et de courtoisie !

Hugues, Henri, Philippe, Louis, ces rois-moines, ces rois-soldats de la magnifique dynastie capétienne doivent leur élévation et leur sagesse à l’action de l’Église et de ses moines !

Son analyse de la guerre de 1914 traduit son esprit réactionnaire fidèlement recueilli et transmis par notre Père !

Retenu au Hoggar pour y maintenir la paix, le Père de Foucauld se tient très informé de la guerre, y voyant de plus en plus une Croisade contre la barbarie allemande et pour le salut de la France !

À l’issue de cette conférence, remplis de fierté pour notre France catholique, vous voudrez repartir en mission avec elle pour qu’elle retrouve sa place et répande son héritage !

Pacifiste, écologiste, révolutionnaire, saint François ? Balayons les mensonges pour éprouver à notre tour le charme évangélique du Poverello, qui souleva tout le Moyen Âge, jusqu’à la Croisade, jusqu’au martyre !

L’Église peut-elle évangéliser les peuples sans le secours des nations chrétiennes ? Au XVI^e siècle, les calomnies de Las Casas ont définitivement semé la confusion dans les esprits...

À l’origine du Vœu de Louis XIII en 1638, un capucin oublié : le Père Joseph de Paris, « l’Éminence grise ». Un génie politique et un saint !

Retraçant deux mille ans d’histoire chaotique des missions, frère Scubilion définit l’idéal de l’Église missionnaire : latine, persécutée, française !

Enfant de l’Église par toutes les fibres de son être, notre Père ne peut que combattre pour la défense de la Chrétienté, car « il n’y a pas d’Église sans Chrétienté, comme il n’y a pas de Chrétienté sans Église ».

En disciple de notre Père, Frère Jean Duns retrace toute l’histoire de la Syrie, des origines à nos jours, en discernant le dessein de Dieu sur cette nation.

« Les rois sont toujours armés. Ainsi les États demeurent forts au-dehors contre l’ennemi, au-dedans contre méchants et rebelles, et la paix publique est assurée ! » (Bossuet)

Demain, la dictature sera dirigiste ! Les principes de Montesquieu et Tocqueville, opposant les libertés individuelles à l’État sont suicidaires !

Cette conférence relate les circonstances du procès de l'abbé de Nantes au Saint-Office en mai 1968 qui aboutit à un triomphe... de la Contre-Réforme !

Peut-on être soldat et chrétien ? La guerre est-elle un mal absolu ? un crime ? un châtiment ? L’Église conciliaire a trahi sa mission. Le Père éclaire ces questions avec autorité !

Devant le public enthousiaste de la Grande Mutu, le Père, pour sauver la France décadente, veut réveiller la droite – la vraie ! – avec l’Église qui doit faire de la politique.

L’Église fondée par le Christ a-t-elle gardé la pureté de ses origines ? Que répondre à ceux qui l’accusent d’avoir été soit trop humaine, soit trop spiritualiste ?

Une grande course sur les pas de nos missionnaires jésuites et capucins au Levant, de Constantinople à Ispahan, apôtres au cœur de feu et ambassadeurs du Roi de France auprès des chrétiens d’Orient et des musulmans.

L’Évangile nous indique-t-il une politique ? En ce domaine tellement important, Dieu doit bien avoir quelque chose à nous dire et à nous demander de faire ! Découvrez dans cette conférence le Christ vivant, Maître de la Politique !

Henri Ghéon mène une véritable « croisade pour un art chrétien », renouant avec la grande tradition du théâtre antique, médiéval et classique.

Découvrez, la grandeur, la beauté de notre épopée nationale, La Chanson de Roland, produite sous l’impulsion de Cluny, qui révèle l’esprit de la Chrétienté et les temps héroïques de la Croisade !

Après son refus de la grâce qui lui était offerte en 1934, la France est à la merci du Front populaire. Tandis qu’en Espagne, depuis février 1936, la terreur rouge se déchaîne.

Au sommet de civilisation où était parvenu le XIII^e siècle, succède une décadence, en Occident et en Orient. C’est cette fresque que nous retrace frère Bruno en conclusion du camp.