Face aux périls que couraient l’Église et la Chrétienté, le Pape recourut à un remède extraordinaire : la réunion d’un Concile œcuménique, pour la condamnation des hérésies protestantes et la réforme de l’Église, in capite et in membris.

Deux grands saints de Contre-Réforme, qui firent produire ses fruits au concile de Trente : saint Charles Borromée, archevêque de Milan et saint Pierre Canisius, champion de la Contre-Réforme catholique en Allemagne.

L’explication lumineuse de la transsubstantiation rejoint la simplicité du regard de la Foi et renforce la croyance dans l’Incarnation de Jésus pour former son Corps mystique !

L’anti-mal français :
Pendant deux mille ans, l’Église répandit l’Évangile par la Croisade, l’Inquisition et la monarchie très chrétienne. Les frères le prouveront !

Un an après la clôture du Concile, s’impose le constat d’une grave crise de la foi dans l’Église. Avec Maritain et Guitton, faut-il n’y voir que « les pas du diable précédant les pas de Dieu » ou l’apparition des fruits empoisonnés du Concile lui-même prônant l’ouverture au monde, la liberté religieuse et un œcuménisme sans bornes ?

Les textes mêmes du Concile attestent les orientations sur lesquelles l’Église a couru depuis vingt ans jusqu’à sa consomption, dont les signes ont paru tout de suite.

Notre mouvement ? Aussi loin de l’hérésie que du schisme : juste catholique, mais contre la prétendue réforme de Vatican II que le Pape, pasteur du troupeau, doit condamner !

Quelle est l’essence du sacerdoce ? Après 2000 ans de vie de l’Église, la question est complexe et embrouillée par les réformateurs comme par les intégristes.
Découvrez l’une des rares – l’unique ? – réussites de Vatican II !

Nos évêques livrent leurs prêtres à la République et rejettent la responsabilité de la dépravation conciliaire sur le concile de Trente ! C’est cela, le grand scandale !

Dès l’origine, l’Église a reçu le pouvoir divin de la réconciliation entre frères et avec Dieu, et l’a pratiqué. Après nos temps d’apostasie, la rénovation de ce ministère s’impose !

Le Concile a brisé l’unité de l’Église sur la foi en l’Eucharistie. Le Père prépare l’avenir en dégageant la richesse la plus profonde du dogme et de la liturgie !

La Confession d’Augsbourg dont évêques et pasteurs célèbrent conjointement le 450^e anniversaire fut-elle un texte de foi commune ? Une étude attentive des faits et du texte interdit absolument de l’affirmer !

Il faudra cinq siècles de débats acharnés avant que Pie IX ne proclame l’Immaculée Conception : une histoire passionnante de l’Église dans sa réflexion théologique !

La crise des prêtres, sans précédent dans l’Église, trouve sa cause logique dans la révolution conciliaire : l’étude du schéma 4 le prouve abondamment.

L’utopie dégénère toujours en fanatisme, sauf l’Église catholique ! Si elle soutient l’impérialisme soviétique, c’est qu’en 1962, les utopistes ont pris la commande, contre l’Église, comme Luther en Allemagne, avec les mêmes dérives.

Une visite savoureuse au Louvre, avec frère Henry en guide éclairé pour nous faire découvrir les grands noms des artistes français du XVII^e, qui mirent leur art au service de la Contre-Réforme !

L’un des fruits de la Contre-Réforme catholique au XVIe siècle est le développement incroyable des missions. Saint Alphonse-Turibe et saint Jean de Britto sont deux exemples très attachants de ce renouveau.

L’Église fait bien tout ce qu’elle fait, même en condamnant Galilée ! Preuves à l’appui, comment peut-on le défendre et accuser l’Église ? Mystère d’iniquité !

Avec ce grand saint jésuite qui controversa toute sa vie contre le protestantisme et pour l’exaltation du catholicisme, nous avons un modèle de saint de Contre-Réforme au XXI^e siècle !