En suite du concile de Trente, un nouvel art se met en place sous la direction de l’Église. Désormais, l’art devient l’auxiliaire de la Contre-Réforme, répondant aux attaques des dogmes et dévotions traditionnelles lancées par les protestants : contre la Vierge Marie, les saints, les sacrements, etc. L’art baroque français, plus tempéré que le méridional, voudra aussi rendre la religion sensible au cœur tendant ainsi au classicisme. Mais rien de mieux pour s’en convaincre qu’une visite au Louvre commentée par frère Henry qui nous fait découvrir les grands noms de la peinture française. Pour conclure que les arts ne sont jamais si grands que lorsqu’ils sont au service de l’Église et de la monarchie !
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