La finalité de la Communion offre un parallèle très frappant avec celle de l’union conjugale : fécondité, union et tendresse.

Quelle fierté pour le moine communiant au Christ, d’être disciple d’un Maître qui comble sa nature d’homme !

La vierge consacrée – nouveauté du christianisme – s’explique parce que Jésus est son Époux, comblant sa nature féminine !

Le plan de la Sagesse divine – nous introduire dans la vie trinitaire – est réalisé par la Communion !

Chapitre 33 : Le Saint-Sacrifice de la Messe – Chapitre 34 : La Sainte Communion – Chapitre 35 : Manière de bien communier.

Pour aimer Jésus-Hostie, demandons à la Vierge de nous donner des sentiments d’amour semblables aux siens !

Avec saint Jean Chrysostome, représentons-nous la merveille de l’union si intime de Jésus se mêlant à nous dans la communion ! Et rendons-Lui tendresse pour tendresse !

Dévotion au Cœur de Jésus et dévotion à l’Eucharistie sont inséparables ! Les explications de saint Cyrille embrasent d’ardeur notre cœur !

Avec saint Cyrille, acceptons d’être stupéfaits devant la grandeur de ce sacrement, non pour le fuir, mais pour chercher à en bénéficier avec de plus en plus de confiance !

Quand Il est parti, Jésus a promis qu’Il reviendrait. Mais pourquoi dans son Corps et son Sang ? Barbarie ou sublimité ?

Écoutez bien les résolutions que le chrétien doit prendre dans ce domaine : neuves !

La Communion pascale, fruit du Sacrifice de notre Sauveur ressuscité, doit nous introduire dans l’union intime de la Trinité ! Par-delà même les terribles objections !

C’est le trésor de la vie sacerdotale du Père ! Cette dévotion enflamme notre Croisade eucharistique et mariale, qui nous conduira jusqu’à Fatima en 1996.

Après la Révolution et l’Empire, l’Église s’est relevée par la messe, la confession et la communion !

La Résurrection du Sauveur, attendue durant tout l’Ancien Testament, est le principe de la vie de l’Église et la source de la grâce que nous recevons à chaque communion.

Redécouvrons les insondables richesses du Cœur de Jésus et de ses intentions : la Croix pour l’Eucharistie, pour le Cœur de Marie et notre union en Eux et entre nous !

Le pape François explique la Messe en omettant son mystère central : le Saint-Sacrifice !
50 ans après l’imposition de la messe de Paul VI, le complément de la théologie de notre Père est indispensable.

Restituons à la Messe son vrai, son plus beau nom et son mystère essentiel : la Messe est le sacrifice du Christ perpétué, le Saint-Sacrifice.

Sur terre, manque la dernière glorification pour l’Épouse : celle de paraître devant le Père au bras de son Époux !

Lisieux, ce sont les combats de l’oncle Guérin, la guérison miraculeuse du 13 mai 1883. C’est d’étape en étape, sous la main de Jésus, la course de géant qui la conduit au Carmel à 15 ans pour sauver les âmes.

Le secret du Saint Nom de Jésus, c’est Jésus se faisant manger et boire lors de la sainte Communion !

Récit captivant d’un pèlerinage à Lourdes, décisif pour cette âme de feu, que le Ciel mène visiblement à l’Église catholique par des signes spectaculaires !

Quel prix infini de la Messe : Jésus revient à chaque messe nous laver les pieds...

Comme la Très Sainte Vierge Marie, l’Église est appelée à communier totalement à son Époux Jésus-Christ, en chaque âme et dans le genre humain tout entier, pour retourner un jour vers le Père.

L’important dans l’Église, c’est la Messe et, dans la Messe, le Saint-Sacrifice de Jésus auquel nous nous unissons par la Communion !

Dans sa prière d’action de grâces à son Père, Jésus livre le secret de son Cœur : sa joie et sa prière afin qu’unis à Eux par la communion, nous soyons gardés du monde mauvais !