La victoire des talibans sur les États-Unis est tragique. L’Afghanistan pourrait devenir la base arrière, en pleine Asie centrale, d’un mouvement international de terrorisme islamique.

Frère Bruno tire une leçon géopolitique de la guerre en Afghanistan : un cours magistral de stratégie nationaliste et catholique, résultat d’une application serrée des principes posés par notre Père en des occasions similaires !

Constantinople a été prise par les Turcs en 1453, faute du soutien de l’Église. De même, la catastrophe est programmée chez nous, preuves à l’appui. Sauf miracle !

Frère Bruno analyse la situation au Moyen-Orient après trois semaines de conflit : rien n’est réglé. La véritable clé n’est ni à Bagdad, ni même à Jérusalem, mais à Rome !

Dans le renversement d’alliance que constitue l’accord Japon - Chine, et l’élection d’un pape polonais, il faut de la sagesse politique pour analyser sans parti pris autre que national et catholique !

L’œil fixé sur l’hérésie de la liberté religieuse et malgré tous les contrecoups que l’Église en reçoit de la part de l’islam, le pape Benoît XVI persévère dans sa chimère conciliaire, au mépris de toute vérité et justice.

Pour rétablir la situation, il suffit de demander l’aide de Notre-Dame, elle seule peut nous secourir ; en attendant, le monde et l’Église s’embourbent dans les catastrophes.

Pour résoudre la crise, il faudrait d’abord instaurer une autorité dictatoriale et royale puis reconstituer un réseau d’entraide pour plus petitement pérenniser nos familles et nos entreprises.

L’islamisation est le fruit de la “ déchristianisation ” instaurée par Vatican II, avec le clergé et la démocratie française qui comme catalyseurs !

L’encyclique du Pape en contient deux : une catholique et une autre maçonnique... Il faut donc reprendre le combat, mais sans désespérer, car la foi du Pape est sincère.

Pendant que la Russie lutte efficacement contre l’islam en Tchétchénie, l’Europe chrétienne sympathise avec l’islam “ modéré ” et les États-Unis alimentent les courants islamiques par leurs interventions au Proche-Orient.

Non, le monde ne va pas bien ! Le tour du monde le prouve, hélas, abondamment. Non, Jean-Paul II ne peut relever l’Église par les droits de l’homme.

Le Pape ne tranche pas dans deux affaires cruciales. Islamisme et marxisme font bon ménage dans le monde. Les Russes sont les maîtres : seul le Pape peut arrêter leur expansion.

Tous les jugements que le Père a portés sur l’actualité internationale se sont vérifiés, hélas ! Prophète ? Non pas, mais analyste sans parti-pris, bien formé et informé ? Encore ce mois-ci !

Un tour d’horizon de l’Église et du monde, dans l’angoisse de la guerre soviétique à venir, dans l’aveuglement volontaire de l’Europe et le désengagement des USA.

Une conférence très dense et riche d’enseignements doctrinaux à partir des événements de la Russie de Gorbatchev, de Rome avec Mgr Lefebvre, de Paris après les législatives, enfin de Nouméa.

La paix est impossible en Israël, en Irak, en Afghanistan... Pour garder l’espérance, nous tournons une fois de plus nos regards vers Jean-Paul I^er, que son procès de béatification commence à ressusciter !