Mgr Joly, membre de la commission doctrinale de la CEF, est nommé évêque de Troyes. Il importe de lui faire connaître en toute vérité “l’affaire de Nantes” que nos évêques s’ingénient à éluder.
Après le Concile, l’abbé de Nantes combattit sur deux fronts : pour obtenir du Pape un jugement infaillible sur la Réforme conciliaire et pour retenir dans l’Église les fidèles tentés de la quitter.
La défense loyale de la vérité conduira notre Père jusqu’à Rome, pour accuser Paul VI puis Jean-Paul II de substituer le culte de l’homme au culte de Dieu.
Dans le sillage de notre Père qui a dénoncé jusqu’au bout la Réforme conciliaire, nous demeurons en état de suspicion légitime et de soustraction d’obédience vis-à-vis de ses promoteurs.