Ce fut la découverte de notre camp : la figure très pure et attachante de René Bazin, « romancier de la vraie France », dont l’œuvre distille l’espérance, cette vertu théologale, surnaturelle, qui brilla chez l’écrivain particulièrement durant les quatre années de guerre. Jusque dans les pires détresses, il croyait au salut, non seulement de l’âme individuelle, mais encore de la France, « pays de résurrection », disait-il, parce que l’âme profonde de la France est catholique.
Sœur Bénédicte termine par une belle évocation du roman “ Magnificat ”, histoire d’une vocation, née en Bretagne, révélée sur le front de guerre, menée à son accomplissement par le sacrifice d’âmes saintes, dans la grâce de la cirumincessante charité divine et humaine.
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