Poursuivant son étude de la réforme liturgique, le Père étudie la position de l’abbé de Solesmes, dom Oury. Celui-ci, d’une foi exacte et d’une honnêteté indiscutable, prouve, arguments à l’appui, la catholicité de la réforme. Sauf qu’il omet la pratique actuelle de cette réforme qui justifie tous les refus des intégristes ! Et le Père d’expliquer que cette réforme nécessaire, commencée bien avant le Concile sous de très bons papes, aurait donné des fruits excellents si elle n’avait pas été détournée par des modernistes ! Désormais compromise, elle est un échec. Pour toujours ? Vatican III tranchera.