Ce texte monstrueux de quatre-vingt-dix pages est le pire des Actes de Vatican II. Dans cette “ Constitution pastorale ”, le Concile engage l’Église dans un vaste « Mouvement d’animation spirituelle de la démocratie universelle », non pour mieux servir Dieu, mais pour servir l’Homme. En une heure, frère Michel résume la pensée de notre Père s’élevant résolument contre cette profession de foi en l’homme, contre l’abaissement de l’Église déchue de son trône et réduite à la condition de servante du monde, et contre le renversement de tous les principes de la morale qui en résulte. Ce texte révolutionnaire pose les principes d’une apostasie pratique dont nous constatons aujourd’hui l’invasion prédite par notre Père dès 1966.
Autodafé (Georges de Nantes) - Concile Vatican II - Gaudium et Spes - Culte de l’homme - Monde - Ouverture au monde