Déçu par les monarchies, fermement condamné par l’Église en 1832 et en 1834, Félicité de Lamennais s’enfonce dans son idolâtrie de l’humanité jusqu’à mourir apostat.
Dans cette seconde conférence, frère Thomas et notre Père font voir la révolte de Lamennais et ses fruits monstrueux : progressisme et modernisme, ainsi que, nés dans l’esprit de ses anciens disciples, démocratie chrétienne et libéralisme catholique. La fin effrayante de Lamennais est cependant l’occasion d’une leçon donnée par notre Père : comme les saints, « agir dans l’espérance, contre toute espérance ».