Déçu par les monarchies, fermement condamné par l’Église en 1832 et en 1834, Félicité de Lamennais s’enfonce dans son idolâtrie de l’humanité jusqu’à mourir apostat...

Condamné deux fois par Grégoire XVI, Félicité quitte l’Église pour inventer une religion universelle au service de l’humanité. Sa mort d’impie fait le désespoir de son frère...

Précurseur de l’apostolat des laïcs et fondateur des Frères de Saint-Vincent-de-Paul, Jean-Léon Le Prévost a été l’initiateur d’une authentique action catholique pour laquelle la charité se fait contre-révolutionnaire.

Notre mouvement ? Aussi loin de l’hérésie que du schisme : juste catholique, mais contre la prétendue réforme de Vatican II que le Pape, pasteur du troupeau, doit condamner !

Écoutez frère Bruno relire et commenter l’encyclique de saint Pie X contre le modernisme et vous y reconnaîtrez toute l’apostasie actuelle, installée par Vatican II.

L’Église fondée par le Christ a-t-elle gardé la pureté de ses origines ? Que répondre à ceux qui l’accusent d’avoir été soit trop humaine, soit trop spiritualiste ?

Tous les saints du XIX^e siècle sont royalistes et légitimistes, non par politique, mais par réflexe religieux devant les monstruosités de la Révolution, les impiétés de l’Empire et de la République.

Quelle fut l’attitude de l’Église face à la Révolution ? Malgré la trahison des libéraux, une résistance héroïque, sous la bannière de l’Immaculée !

Sœur Bénédicte nous fait revivre l’histoire passionnante de ce pèlerinage parisien et de son bon curé, emblématique des desseins de Dieu sur la France par le Cœur Immaculé de Marie !

La renaissance du Canada français dans la période qui nous occupe a tenu à la régence des saints soutenus par l’Immaculée, malgré les principes révolutionnaires mis en place !