Les deux fidèles disciples de l’abbé Georges de Nantes ont eu l’occasion, d’une manière originale, de lui rendre hommage et de démontrer une nouvelle fois, à sa suite, que le concile Vatican II est bien la cause de la ruine de l’Église.

Pour le mille trois centième anniversaire de l’apparition de saint Michel à saint Aubert, trouvons davantage de raisons de le prier en retraçant ses interventions dans les luttes de notre histoire.

Il faut revivre au jour le jour les phases de la bataille de Diên Biên Phu pour comprendre le crime de la République et mesurer l’héroïsme de nos soldats qui se battaient pour la défense de la Chrétienté d’Indochine.

C’est la trahison effroyable du gouvernement français qui permit au FLN d’étendre son insurrection et sa terreur. Trahie en hauts lieux, traînée dans la boue, l’armée renversera néanmoins la vapeur et sauvera la Chrétienté… au prix de son sang.

On revient ici sur les événements de 1958-1961 pour les analyser du point de vue de l’armée. Qu’aurait-on dû faire ? Quel esprit animait nos généraux ? La doctrine de notre Père permet d’apporter plusieurs éléments de réponse.

Le pire des actes de Vatican II : le Concile engage l’Église dans un vaste « Mouvement d’animation spirituelle de la démocratie universelle », non plus au service de Dieu, mais de l’Homme.

Cette conférence doctrinale traite de la plainte de l’abbé Georges de Nantes à notre Père dans la foi le pape Paul VI pour hérésie, schisme et scandale.

En 1983, l’abbé de Nantes accuse Jean-Paul II d’hérésie, dévoilant sa véritable personnalité de novateur et de corrupteur. La charge décisive est la dénonciation de son refus du message de Fatima.

Frère Michel résume, en l’illustrant de nombreux exemples tirés de l’histoire de France, la doctrine de “ politique totale ” de l’abbé de Nantes, exposée à la Mutualité en 1983-1984.

Notre Père recherche les interventions divines dans notre histoire pour connaître la clef des événements et ainsi comprendre la volonté particulière de Dieu sur la France.

Analyse des douze hérésies, douze désorientations diaboliques contenues dans le CEC, qui vident l’Église de sa substance surnaturelle pour mieux la rendre épouse du monde.

La Religion en vrai vous invite à un voyage dans le temps, aux origines de la Chrétienté française. Vous aborderez en Provence avec sainte Marie-Madeleine pour faire pèlerinage à ses reliques et de là, vous irez vénérer les saints martyrs de Lyon et vous comprendrez ainsi qu’à la veille de la paix de l’Église, le christianisme était déjà largement diffusé en Gaule.

Pour comprendre l’abbé de Nantes, c’est par Elle qu’il faut commencer ! Guidé par les ardeurs toujours plus vives de son amour, il ne cessa de progresser dans la compréhension du mystère de l’Immaculée qui devint le tout de sa vie.

Chargée de renseigner le Saint-Père sur la réalité et la portée du message de Notre-Dame à Fatima, la Congrégation pour la doctrine de la foi a convoqué notre frère François de Marie des Anges...

Les faits relatifs aux dix premières apparitions de Medjugorje (sur plus de 50 000...) suffisent à démontrer qu’elles sont diaboliques.

L’analyse objective, morale et doctrinale des apparitions de Medjugorje conduit à la même conclusion : elles sont d’origine diabolique !

Avec notre Père, crions en choeur : « Vive l’Armée ! » Car bien que malade de la République, elle demeure la dépositaire de l’honneur, des traditions, des grands desseins de la nation.

Qu’est-ce que la Révolution ? Une machine de guerre implacable pour anéantir les nations chrétiennes et chasser Dieu de la scène internationale...

Pourquoi Notre-Dame de Fatima n’a-t-elle jamais parlé des États-Unis, la première puissance mondiale ?
Parce que l’orthodromie divine ne passe pas par ce pays. Et pour cause !

Il faut consoler notre Mère : tandis que la guerre et le chaos progressent dans le monde, le Pape envoûte les foules par son rêve de fraternité universelle au lieu de prêcher la dévotion au Cœur Immaculé de Marie.

Guerre en Arménie, en Ukraine, en Palestine, désagrégation épouvantable de l’Église dans ses institutions et sa morale : tous peuvent constater les fruits pourris de la révolte du Pape contre le Ciel.

L’Enfant-Jésus qui vous tend les bras sur les genoux de sa divine Mère et les saints qui l’entourent dans la crèche vous prêchent éloquemment que notre religion est un amour !

La France est la victime consentante du mondialisme, puisque nul ne songe à rompre avec l’Europe et la démocratie ! De même, dans l’Église, il est inutile de déplorer l’apostasie sans dénoncer le Concile.

Malgré la suprématie de la Russie en Ukraine, l’Otan veut lui faire la guerre, Macron caracolant en tête. Ce sera le châtiment de l’apostasie de l’Église et son autodestruction, de Vatican II à François.

Étonnant renversement : la République soviétise la France au même moment où en Russie, le Patriarcat et l’État heureusement concertés travaillent à désoviétiser le pays !

La démocratie européenne, c’est la mort de la France, avec la complicité de l’intégralité de la classe politique. Et l’Église meurt du même poison...

La France et en particulier la Nouvelle-Calédonie crèvent de la démocratie. Les projets macroniens – guerre en Ukraine et euthanasie – dictent notre ligne de conduite pour les prochaines législatives...

Au cœur de la France, la cathédrale Notre-Dame de Paris illustre les grandes heures et les malheurs de l’histoire de la tribu de Juda de la Nouvelle Alliance, le Royaume de Marie.

L’étude croisée de nos antiques traditions et des témoignages de l’archéologie et des Pères met en lumière les liens par lesquels Notre-Dame s’attacha la Chrétienté gallo-romaine.

Clovis et Charlemagne, saint Rémi et Hincmar de Reims : ces personnages glorieux et lointains deviennent familiers lorsqu’on découvre que la France leur doit son amour de Notre-Dame !

Pendant ces trois derniers mois, la classe politique française, les chefs des nations, le Pape lui-même et ses affidés ont remué de vains projets et conspiré contre le Christ et sa divine Mère.

Les illusions révolutionnaires laissent place à la faillite en France et à la guerre dans le monde. Mais le Pape rêve toujours de synodalité, au prix de la destruction de l’Église.

Au moment où nous aurions le plus besoin de son secours, la France et le monde oscillant au bord du chaos, Notre-Dame est la grande oubliée des cérémonies de réouverture de sa cathédrale parisienne.

La France et l’Église en faillite ne savent que réveiller la vieille chimère démocrate-chrétienne. Mais le salut ne viendra que de la dévotion au Sacré-Cœur, à l’école des carmélites de Compiègne !