Face à la République franc-maçonne qui accumule les lois anticléricales, l’Église est écartelée entre la fidélité héroïque des saints et la trahison des libéraux catholiques, quelquefois faits papes...
De 1914 à 1922, le pape Benoît XV, libéral et démocrate-chrétien, se révéla plus disciple de Léon XIII que de Pie X en demandant aux catholiques français de déposer les armes...
Le 6 février 1922, le pape Pie XI succède à Benoît XV et continue la politique de ralliement de l’Église à la Révolution. En 1939, divine surprise, le Maréchal rend à l’Église ses biens et son influence.