Entrons dans l’explication du Credo pour nous assurer des fondements de notre Foi, contre toutes les réductions modernes. Oui, Dieu existe !

Comprenons, par la Révélation, que Dieu est suprêmement Père, avec une âme de Père, engendrant de toute éternité un Fils. Nos existences ne s’expliquent que par cette vie intime !

L’apologétique permet d’établir les preuves rationnelles, vérifiables, certaines, accessibles à tous, incroyants ou croyants, sur lesquelles se fonde notre religion.

Notre Père a développé la seule analyse véritable des Actes du concile Vatican II, aboutissant à la dénonciation des trois hérésies conciliaires : progressisme, modernisme et gnose.

L’autonomie du politique et de la philosophie – au centre des débats du XIII^e siècle – ne signifie pas affranchissement de la religion. Les rois et les saints l’ont compris, pour le salut de tous ! Ce fut différent au XVII^e...

Frère Bruno explique pourquoi il faut tenir à la pratique de la petite dévotion réparatrice. C’est une exigence de Dieu par laquelle nous obtiendrons le salut des âmes, des nations et de l’Église tout entière.

Le savoir humain couronne l’édifice de la philosophie, en attente d’une Révélation postulée par bien des questions pendantes : le mal, l’imperfection du monde. La religion répond !

Contre la révolution de l’introduction de l’aristotélisme dans la philosophie et la théologie, les docteurs franciscains rétablissent avec hardiesse et génie le primat de la Révélation, source de toute connaissance !

La métaphysique relationnelle à Dieu et à aux autres débouche sur trois interrogations essentielles auxquelles seule la foi peut répondre !

L’appel de notre Père au magistère suprême et infaillible du Pape, auquel nos évêques ne savent pas répondre, est néanmoins l’ultime recours à la mortelle désorientation illustrée par le synode sur l’Amazonie.

L’abbé de Nantes a accompli un parcours sans faute ! Pour s’en convaincre, il suffit de retracer sa vie et ses combats.

Tout le Mystère annoncé par Paul est le contraire du gnosticisme moderne qu’on nous enseigne.
Un bon catholique retrouve l’esprit primitif dans les institutions actuelles.