Qui nierait aujourd’hui le fiasco de l’Éducation nationale de la République ? Les voies du salut sont heureusement bien repérées, pour le renouveau de l’école et, par suite, de l’âme de la France !

Du débat sur l’inamovibilité des magistrats jusqu’aux lois scolaires Ferry, en passant par l’expulsion des congrégations religieuse, Mgr Freppel défend l’Église et la France à la tribune de l’Assemblée nationale.

« Dieu ne nous ordonne pas de vaincre, mais de combattre. » Dans cette excellente présentation de son troisième tome consacré à l’activité parlementaire de Mgr Freppel, frère Pascal dégage dix principes nécessaires à la bonne marche d’un État.

« Tous les Français fiers de la France, la France fière de chaque Français, tel est l’ordre que nous voulons instaurer. » Et Dieu ? Face aux mythes subversifs, la Révolution nationale manquait, hélas ! de mystique.

Au lendemain du 14 juillet 1882, La presse républicaine ne décolère pas contre Mgr Freppel, « prêt à prêcher quelques croisades là-bas en terre vendéenne ou en pays breton ». De fait, il est le seul véritable opposant à la république !

L’Église possède la clé du problème ouvrier créé par le capitalisme et la révolution.