Notre Père nous entraîne dans un pèlerinage émouvant à travers le splendide dix-neuvième siècle, dont la sainteté populaire est une lumière qui nous préservera de la désorientation diabolique de la grande apostasie.

Au concile Vatican II, l’Église s’est laissée envahir par une doctrine philanthropique qui a “ libéré ” le peuple de Dieu des “ étroitesses ” du Saint-Esprit...

Certes les conditions de vie du XIX^e siècle ont disparu, mais les splendeurs de sainteté et de mœurs chez nos pères sont à retrouver dans la désorientation diabolique actuelle...

La religion consiste, pour nous créatures, à faire ce que notre Créateur nous commande !