Notre foi fermement établie sur la science archéologique et exégétique la plus sûre, suivons Moïse, de la théophanie du buisson ardent sur le mont Sinaï (Har Karkom), à la traversée de la mer des Roseaux et du désert.

Les philosophes admettent d’emblée leur propre existence, mais celle de Dieu, c’est fort compliqué !
Nous verrons que c’est juste l’inverse ! Comment existons-nous sans être une partie de Dieu ??

Le prédicateur étudie le thème de Dieu-Père dans les trois Évangiles. Si Paul continue le théocentrisme juif avec toutes ses caractéristiques d’Ancien Testament, il y intègre le Christ de l’Évangile.

Saint Augustin ne veut connaître Dieu que par les Noms donnés à Moïse dans le Buisson ardent, gage de son Alliance.

L’Immaculée est Semper Virgo, toujours Vierge avant, pendant, après l’enfantement de Jésus. Notre salut : croire à cette virginité perpétuelle et mieux comprendre le mystère de Marie, Vierge et Mère.

À l’école de saint Augustin et de notre Père, la double révélation de Dieu à Moïse dans le Buisson ardent suffit à sortir la théologie des ornières rationaliste et immanentiste !