L’œuvre de René Bazin distille l’espérance. Jusque dans les pires détresses de la Grande Guerre, il crut au salut de la Patrie, parce que l’âme profonde de la France est catholique.

Pour régénérer la France par l’éducation de la jeunesse, Mgr Freppel créa l’Université catholique d’Angers où se noua cette « splendide gerbe angevine » de francs catholiques royalistes dont René Bazin fut le lien.

Cette étude de la vie et du message du Père de Foucauld par René Bazin fut le plus grand service que cet écrivain catholique rendit à la cause de Dieu et de la France.

Ces deux témoins ont aimé Angers et la terre d’Anjou, terre natale pour l’écrivain, terre d’adoption pour le prélat alsacien qui y a laissé un exemple magnifique d’évêque pour demain.

Présentation du tome II de frère Pascal sur Mgr Freppel : il créa l’Université catholique d’Angers pour régénérer la France par l’éducation chrétienne de la jeunesse afin de la prémunir contre les idées révolutionnaires.

Au XIX^e siècle, pour sauver les paysans privés de leurs corporations par la Révolution, les catholiques sociaux créèrent le syndicalisme agricole avec pour devise :« Cruce et Aratro », par la Croix et la charrue.

Dans la pensée du pape saint Pie X, l’Action catholique des fidèles était avant tout une œuvre de grâce, une œuvre de combat sous la bannière de l’Immaculée qui aurait dû conduire à une œuvre de résurrection.

Pour conclure ce chapitre, frère Pascal nous offre à lire des lettres et des articles de journaux soutenant Mgr Freppel face à l’opposition venant des députés de droite libéraux et ambitieux !

Par-delà les apparences, Charles fut un vrai officier français qui par l’expédition au Maroc se mit au service de la France pour préparer les voies d’infiltration française au Maroc.

L’œuvre du Père est restée sans fruit par l’altération volontaire de sa doctrine. Elle rayonnera lorsque la France et l’Église reprendront la Croisade auprès de ces populations !

Il faut christianiser ces musulmans, enfants de la France ! Pour cela, conscientiser les chrétiens de France. À trois reprises, le Père viendra en France dans ce but.

En programmant l’assassinat du Père, les senoussistes armés par les Turco-allemands savaient qu’ils supprimaient l’âme de la résistance française. Celui-ci est mort martyr de la foi.

Les preuves d’une mort de martyr, par amour et par charité, désirée depuis 1897 et obtenue par grâce en 1916...