Notre malheureux pape convoie plus que jamais la ruine de l’Église et de la civilisation en se montrant l’inconditionnel apôtre du Concile. La famine sera le châtiment médicinal de cette impiété.

Au lieu d’obéir à la Sainte Vierge, Benoît XVI continue de vouloir faire triompher le Concile dans l’Église en prônant la réconciliation.

L’opposition de saint Thomas More à son roi, par devoir de conscience, présente un parallèle saisissant avec le grand drame de la vie de notre Père, qui atteignait son paroxysme en cette année 1996.

Quand Benoît XVI reconnaît l’héroïcité des vertus de Jean-Paul II et ouvre les portes de l’Église aux anglicans qui adhèrent au CEC, seule la CRC peut nous redonner la foi et l’espérance en l’Église !

On peut tout attendre de Jean-Paul II, sauf le bien. Partout il mêle la piété et la subversion. Mais le fond de sa pensée, c’est son culte de l’homme.

Frère Bruno dresse un bilan accablant des cinq dernières années du pontificat de Benoît XVI. Sa nouvelle religion, celle de Vatican II, plus luthérienne que catholique, fut l’unique objet de ses travaux.

Devant les mauvaises nouvelles de ce mois, résistons à l’affolement, prions, étudions et nous rebâtirons la Chrétienté !

La grande force de la F.M. est de faire croire à sa tolérance, sa recherche de la vérité et sa solidarité universelle. Mais derrière cette belle façade se cache un double secret ténébreux.

« La multiplication des erreurs ne divise pas la Vérité » (Abbé de Nantes). L’Église catholique est Une.