L’assassinat du conseiller Prince fut un crime maçonnique typique, perpétré par la République radicale aux abois, en ce sinistre et sanglant mois de février 1934. La victime : Albert Prince, magistrat intègre, ancien combattant, catholique, dont le seul tort était d’avoir été le témoin scandalisé des exactions de Stavisky et des protections dont jouissait l’escroc, à commencer par celle de son chef direct, le procureur Pressard...
Notre Père démonte tous les rouages de ce crime en suivant l’ouvrage de la fille du conseiller Prince : Ils ont tué mon père (Plon, 1994). Il en ressort qu’il y avait deux programmes mis en place avant et après, pour accréditer autant la thèse du suicide que celle de l’assassinat, brouiller toute enquête judiciaire et diviser une fois de plus les Français. Le plan était diabolique.
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