Dans cette dernière partie de la pièce, nous assistons au trouble que Notre-Dame provoque dans la petite ville de Lourdes. Mais c’est pour éprouver ses élus et confondre les « mauvais catholiques ». On vibre pour le vaillant curé Peyramale affronté au préfet de Tarbes ; on rit avec le bon peuple de Lourdes des déboires du commissaire, et des malheurs du garde champêtre et de ses supérieurs. Puis, transportés en 1866, nous voyons Bernadette s’arracher pour toujours à sa chère Grotte pour entrer au couvent et y vivre sa vocation de souffrance. Une merveilleuse représentation qui a, espérons-le, rendu son sourire à la Sainte Vierge !