C’est en 1999 que l’abbé de Nantes comprendra parfaitement le sens mystique et orthodromique de la consécration du monde au Sacré-Cœur réalisée par le pape Léon XIII en 1899 à la demande de la bienheureuse Marie du Divin Cœur, religieuse du Bon-Pasteur de Porto (1863-1899).

Il comprit la volonté du Sacré-Cœur d’intervenir par la médiation de son « épouse », vraie fille de l’Église, pour la défense de la Chrétienté menacée par la montée en puissance des États-Unis, et pour le salut de l’Église investie par les hommes et les idées de la franc-maçonnerie ; et comment Léon XIII préféra sa politique à celle du Sacré-Cœur jusqu’à lui refuser ce culte intérieur, vrai, loyal qu’Il lui demandait. C’est pourquoi sa consécration de 1899 restera sans fruit.

Quant à notre Père, l’abbé de Nantes, c’est désormais cœur à cœur avec la bienheureuse Marie du Divin Cœur qu’il gravira son calvaire pour un semblable service de l’Église.