Jean Cardonnel, tout jeune encore, cesse de croire en Dieu. Il refuse ce Dieu de l’ordre, le « Dieu des Versaillais », et bascule du côté du Peuple où il trouve le parfum de l’évangélique révolution.
Pourquoi notre Dieu qui est bon permet-il le mal ? Maître de l’Histoire, Dieu réalise son dessein, et s’il permet le mal, c’est pour en tirer un plus grand bien.