Un an après la clôture du Concile, s’impose le constat d’une grave crise de la foi dans l’Église. Avec Maritain et Guitton, faut-il n’y voir que « les pas du diable précédant les pas de Dieu » ou l’apparition des fruits empoisonnés du Concile lui-même ?
Un an après la clôture du Concile, s’impose le constat d’une grave crise de la foi dans l’Église. Avec Maritain et Guitton, faut-il n’y voir que « les pas du diable précédant les pas de Dieu » ou l’apparition des fruits empoisonnés du Concile lui-même prônant l’ouverture au monde, la liberté religieuse et un œcuménisme sans bornes ?