Frère Bruno nous montre la fraternité musulmane en action dans le monde et en France. Seuls ses travaux font comprendre cette religion antichrist et conquérante contre laquelle le droit-de-l’hommisme ne peut rien.

À l’occasion de la parution de l’autobiographie d’Hans Küng, frère Bruno compare la vie de ce dernier et celle du cardinal Ratzinger : l’un a fait naufrage dans la foi, l’autre s’interroge sur les fruits du Concile.

Pendant que la Russie lutte efficacement contre l’islam en Tchétchénie, l’Europe chrétienne sympathise avec l’islam “ modéré ” et les États-Unis alimentent les courants islamiques par leurs interventions au Proche-Orient.

Au-delà des opinions partisanes, frère Bruno désigne nos véritables ennemis : le schisme tout autant que l’hérésie dans l’Église ; la démocratie qui fait le malheur de la France et attise la guerre dans le monde.

Au terme de cette conférence, nous comprenons les raisons profondes de la guerre inexpiable de 1914, son déroulement et son mauvais traité. Un cours pointu de géopolitique !

Le caractère mensonger et scandaleux de la béatification de Jean-Paul II dûment prouvé, on ne s’étonnera pas d’assister au châtiment d’un monde ravagé par les guerres et les persécutions.

Si Benoît XVI avait dit qu’il « ferait face aux loups », son cœur est en fait l’enjeu d’un combat diabolique dans lequel philosophie des Lumières, droits de l’homme et liberté religieuse l’emportent sur les demandes de Notre-Dame.

L’Europe est devenue une machine de guerre antichrétienne tandis que le monde oscille entre une hégémonie américaine à relent protestant et un fanatisme musulman entretenu par la même super-grande puissance.

En 1983, l’Europe sera anéantie par l’URSS : nous sommes perdus humainement. Le seul remède ? Croire au miracle annoncé à Fatima, prier, rejeter la démocratie et travailler au redressement de la France ! L’heure est très grave.

Frère Bruno analyse la situation au Moyen-Orient après trois semaines de conflit : rien n’est réglé. La véritable clé n’est ni à Bagdad, ni même à Jérusalem, mais à Rome !

Il faut faire confiance à Jean-Paul II, malgré son culte des droits de l’homme, à cause de sa vraie piété à la Vierge et son désir de rétablir la discipline dans l’Église.

Non, le monde ne va pas bien ! Le tour du monde le prouve, hélas, abondamment. Non, Jean-Paul II ne peut relever l’Église par les droits de l’homme.

Deux graves sujets : le Liban et les pressions internationales, aussi folles que dans l’Espagne de 1936, avant 1940 ; et la dénonciation – enfin ! – des hérésies conciliaires par Mgr Lefebvre, mais...

Ayant pressenti l’intervention russe en Serbie, le Père donne un cours de géopolitique passionnant. Dans l’Église, les aberrations des autorités conduiront, après JP II, au réexamen de Vatican II !