Notre Père aimait beaucoup saint Cyrille : ce grand docteur de l’Incarnation du Verbe à qui l’on doit aussi le dogme de la Maternité divine de la Très Sainte Vierge.

Contre Nestorius niant la divinité du Christ et la maternité divine, saint Cyrille se dresse !

Pour consoler notre Mère Immaculée des outrages lancés contre sa Maternité divine, contemplons le mystère de Dieu fait homme, à l’école de notre Père, disciple de saint Cyrille d’Alexandrie.

Que l’Église des siècles à venir restaure la vision cyrillienne et l’accorde enfin au dogme romain ! Qu’ainsi soient rétablies la symphonie et la paix entre les deux moitiés de la Chrétienté désunie !

En 431, le concile d’Éphèse proclame la Maternité divine de Marie. Frère Bruno nous révèle les richesses théologiques de ce privilège qui nous concerne tous, enfants de l’Immaculée Médiatrice.

Par ses parents, par ses maîtres, Georges de Nantes est enfant de Marie. « Ce n’est pas une dévotion, c’est la réalité, c’est la reconnaissance des enfants pour Celle qui les a enfantés au Calvaire. »

Saint Augustin, l’optimiste qui remet sa destinée d’homme pécheur et faible entre les mains de Dieu souverain qui s’est incarné et livré pour nous sauver tous !

Dieu engendre son Fils pour Lui, son propre bonheur, et pour nous, afin de se faire connaître par Lui, Dieu fait homme, car « nous n’avons accès à Dieu que par Jésus-Christ ».

Dans l’histoire de l’Église, l’efflorescence de la vie religieuse s’accompagne d’un accroissement de la dévotion à la Sainte Vierge. À l’inverse, lorsque ce culte décline, c’est mauvais signe pour l’Église !

Prédestination, Jésus, les trois Blancheurs : paraît-il que les idées qu’en développe le Père sont farfelues. Écoutez-les donc et savourez-les !