Un vrai régal musical, commenté par un artiste patenté qui nous fait entrer dans l’univers des maîtres de la musique romantique !

La présentation de ces grands auteurs romantiques, Lamartine, Vigny et Hugo, sous l’angle de leurs pensées politiques, ressort de leur œuvre, nous les fait redécouvrir ! Passionnant !

Entrons, le temps d’une soirée, dans un Cénacle romantique pour connaître ces poètes autoproclamés mages, prophètes et libérateurs du peuple et dont les intuitions, mêmes dévoyées, continuent de toucher le cœur humain !

Nos jeunes gens nous représentent la seconde génération de poètes romantiques, non plus fière et combative, mais désabusée et pleine d’ironie : la poésie sera le lieu et l’objet de leur révolte jusqu’à sa dissolution.

Chateaubriand fut un mauvais maître par son Génie du christianisme qui exalte un catholicisme sentimental et par son action politique qui précipita la chute de Charles X !

Musset, l’enfant terrible du romantisme, ne partagea jamais la foi ni les enflures romantiques. Il nous touche pas une poésie qui chante la vérité du cœur humain dans ses affres et ses tourments.

Précurseur de l’apostolat des laïcs et fondateur des Frères de Saint-Vincent-de-Paul, Jean-Léon Le Prévost a été l’initiateur d’une authentique action catholique pour laquelle la charité se fait contre-révolutionnaire.

L’incroyant Charles Maurras affirmera et démontrera la supériorité absolue de l’Église catholique romaine pour assurer la préservation des biens humains, contre toutes les anarchies politiques et religieuses !

Êtes-vous maurrassien ? Cette conférence prenante retraçant les étapes de la vie de Maurras et dégageant les axes incontournables de sa pensée et de son combat vous permettra de répondre au triple test final !

Une charité désordonnée – faute d’avoir fixé le vrai bien à procurer à autrui – procure plus de mal que de bien.

Balzac se distingue par la pensée puissante qui l’habite : découvrir les principes d’explication de la société de son temps et s’en faire l’historien par le roman !

Les extraits des œuvres de Rousseau joués par nos phalangistes nous font découvrir la nouveauté – et le danger – de cet auteur.

Le raisonnable est le fondement de l’aimable et du cordial !