La mort de Jésus est-elle autre chose que le crime des juifs comme le tient pour certain Maître Isorni ? C’est ici une nouvelle page de l’éternel procès qui oppose d’un côté Jésus et son Église et de l'autre le judaïsme et ses partisans.

Reprenant le texte initial de Lustiger, le Père en récapitule les mensonges et le danger pour les chrétiens renégats d’aujourd’hui. La vie humaine est tragique : restons fidèles !

Le Père se propose de nous faire revivre la Passion, en résumant les faits selon la chronologie d’Annie Jaubert et en suivant le thème général : qui a tué Jésus et pourquoi ?

Il faut aller au fond du Cœur de Jésus, là où est l’offrande de sa vie très consciente dans cette intention très précise partagée avec son Père : notre rédemption.

En démasquant le vice des pharisiens en des portraits et paraboles qui traversent les siècles, Jésus a voulu libérer le peuple de leur emprise. Ils le condamneront à mort, mais Jérusalem sera détruite.

Quel intérêt à stigmatiser aujourd’hui les juifs dans la mort de Jésus, au risque d’exacerber l’antisémitisme ? Mais c’est qu’il en va de toute l’histoire du monde et du salut !

Renouvelons au sein de la veillée pascale nos promesses de baptême afin de rester fidèles à notre foi en ces temps d’apostasie !

Avant de mourir, David déjoue une dernière rébellion et assure sa succession par le sacre liturgique de Salomon ; par les conseils qu’il lui donne, il institue une nouvelle ère : celle de la Justice.