Le peuple juif, peuple ordinaire, n’est fort que par son élection divine, conditionnelle : c’est le secret de ses succès et de ses échecs ! En attente des temps messianiques !

Le peuple juif dans son ensemble a tué Jésus, en Galilée comme à Jérusalem, par refus de se convertir de ses vices. Et nous, après vingt siècles de Chrétienté ?

Au retour de l’Exil, les chronistes annoncent une restauration du peuple de Dieu, comme une communauté sainte rassemblée autour du Temple où Dieu réside, où prêtres et lévites dirigent sa vie cultuelle.

Libérant les descendants d’Abraham d’Égypte, Dieu se constitue un peuple qu’il se consacre par les liens religieux d’une alliance. La religion de l’Ancien Testament est née, historique et divine.

Quel intérêt à stigmatiser aujourd’hui les juifs dans la mort de Jésus, au risque d’exacerber l’antisémitisme ? Mais c’est qu’il en va de toute l’histoire du monde et du salut !

La déclaration Nostra Ætate constitue l’antithèse et la contradiction intégrale de la doctrine catholique traditionnelle. Vatican III devra la condamner et affirmer que la Chrétienté sera le genre humain !

Un prêtre peut-il faire de la géopolitique ? Certainement, quand c’est celle de notre très chéri Père Céleste ! Voici donc un lumineux survol de l’histoire universelle à l’aune du dessein de Dieu, où notre Père, cartes à la main, nous dévoile et analyse l’histoire du monde vue avec le regard de Dieu.

Reprenant le texte initial de Lustiger, le Père en récapitule les mensonges et le danger pour les chrétiens renégats d’aujourd’hui. La vie humaine est tragique : restons fidèles !

La guerre en Palestine est le salaire de la révolte du peuple juif, renouvelée par l’apostasie de l’Église. La Bible et Fatima éclairent l’actualité : notre péché, notre châtiment, et le salut que nous espérons !

Peut-on être soldat et chrétien ? La guerre est-elle un mal absolu ? un crime ? un châtiment ? L’Église conciliaire a trahi sa mission. Le Père éclaire ces questions avec autorité !

Tandis que s’ouvre le procès de Jean-Paul II, où sera enfin examinée la pureté de sa doctrine, Benoît XVI donne raison à l’abbé de Nantes en abjurant l’erreur capitale du CEC !