Saint Augustin, l’optimiste qui remet sa destinée d’homme pécheur et faible entre les mains de Dieu souverain qui s’est incarné et livré pour nous sauver tous !

L’humanisme athée de Gaudium et spes que notre Père réduit en miettes dans l’Autodafé ? Ce n’est qu’une resucée du vieux pélagianisme combattu naguère par saint Augustin !

« Dieu est plus intime à moi-même que moi. » Tout mon être et ma liberté même ne sont que par sa grâce ! Mystère redoutable aux méchants, mais combien consolant pour les enfants de Marie !

Après l’anathème, Vatican III devra réconcilier ! Mais comment trouver la vérité entre laxisme et sectarisme ? L’Église nous offre de nombreux contre-exemples et exemples pour nous guider !

Dans l’histoire de l’Église, l’efflorescence de la vie religieuse s’accompagne d’un accroissement de la dévotion à la Sainte Vierge. À l’inverse, lorsque ce culte décline, c’est mauvais signe pour l’Église !

Les œuvres du chrétien, non nécessaires dans l’absolu, ont leur place bien marquée dans sa vie et, par la communion des saints, dans celle de tous les pécheurs !

Par l’Église qui tire de nous le meilleur, nous irons au Ciel plus facilement, plus sûrement et plus parfaitement.

Dieu nous a voulus laborieux, reprenant notre travail de conversion chaque jour par les sacrements !

Saint Augustin se débat, non pour comprendre le mystère de la prédestination, mais pour nous mettre en situation de faire notre salut, lequel dépend de l’amour qui nous entraîne au Père !