Marc poursuit le récit des mystères joyeux de Jésus au milieu du peuple galiléen par ses gestes et ses paraboles sur la croissance de son Règne déjà arrivé !

À mesure qu’il révèle son mystère de Fils de Dieu, qu’il prouve en multipliant les miracles, Jésus s’attire la haine des méchants, autant qu’il s’attache les cœurs droits. Quel parti prendra la foule ?

Au cours de son ministère en Galilée, Notre-Seigneur révèle sa mission de « législateur par excellence », confondant la science et la mauvaise foi des scribes et des pharisiens.

Jésus en Galilée conquiert la foule des gens simples par sa bonté suave, par la puissance de ses miracles et l’autorité de son enseignement nouveau qui suscite très vite la haine mortelle des méchants.

Le peuple juif dans son ensemble a tué Jésus, en Galilée comme à Jérusalem, par refus de se convertir de ses vices. Et nous, après vingt siècles de Chrétienté ?

Faisant siennes les angoisses du Cœur Immaculé de notre Mère du Ciel, notre Père se livre à une intense méditation sur cette parabole, si simple en apparence : Et moi, aurai-je la robe nuptiale ?

En démasquant le vice des pharisiens en des portraits et paraboles qui traversent les siècles, Jésus a voulu libérer le peuple de leur emprise. Ils le condamneront à mort, mais Jérusalem sera détruite.

La vie publique s’achève. Jésus est terrible face à ses ennemis mortels, mais il se montre très bon pour ses disciples, les préparant à vivre en temps de persécution. Car il marche toujours vers la Croix.

Le mystère d’iniquité, présent dans l’Ancien Testament, ne pouvait être chassé par une simple Parole, il y fallait le combat du Fils de l’Homme.

En trois ans, Jésus a effectué la plus grande transformation qui n’ait jamais eu lieu dans toute l’Histoire sainte, passant du royaume charnel de l’Israël ancien, au royaume spirituel dont nous vivons encore aujourd’hui.

Jésus est envoyé aux enfants d’Israël, guérissant leurs corps pour signifier le salut de leurs âmes. Mais en terre païenne, il doit commencer par expulser Satan.

Si quelqu’un doit décider de ma vie, je préfère que ce soit mon Père du Ciel plutôt que moi : plus sûr !

L’homme moderne se trouve très bien : il n’a donc aucun besoin de miséricorde.