David, roi d’Israël, roi-prêtre installant l’Arche à Jérusalem, comblé d’une promesse prodigieuse qui donne sens à l’histoire, remportant toutes les victoires car David aime Dieu et Dieu aime David !

Un texte puissant et tragique qui montre la faute du roi bien-aimé s’abandonnant à sa passion criminelle, et le châtiment divin : Dieu est Dieu. Jésus médite et versera son sang pour racheter son père.

La prophétie de Nathan à David – toujours vraie – fonde notre certitude de l’éternité de l’Église. Et la réponse de David est admirable !

Contemplons Jésus, notre Roi en croix, pour comprendre que la fête du Christ-Roi est plus pathétique que glorieuse...

Jusque dans les mystères glorieux, l’inspiration divine des textes est évidente, révélant l’infinie sagesse, matérielle puis spirituelle, de Dieu ! J’aime Jésus parce que j’aime David !

Avant de mourir, David déjoue une dernière rébellion et assure sa succession par le sacre liturgique de Salomon ; par les conseils qu’il lui donne, il institue une nouvelle ère : celle de la Justice.

Avec saint Ambroise, imitons l’admirable contrition de David après que le prophète Nathan lui a révélé sa faute...