La confiance absolue de Jésus dans sa résurrection par son Père fonde la même confiance de notre Père dans son appel au jugement de Dieu !

Pour lutter contre l’incendie allumé par le Concile Vatican II dans l’Église et entretenu par Jean-Paul II, notre Père allume lui-même plusieurs contre-feux ; contre le charismatisme complice du modernisme ravageur, c’est la création de la Phalange en 1984. Contre le “ revival ” du Concile au synode de 1985, une supplique pour la liberté de l’Église et des controverses portées dans les réunions célébrant “ l’expérience ” du Concile.

« Paix garantie, sacrifices promis » : tel est le programme tracé par notre Père à ses disciples. De fait, chaque nouveau combat est soutenu et récompensé par de nouvelles lumières sur la Sainte Vierge !

La Phalange, fondée par l’abbé de Nantes, est un mouvement religieux, mystique, qui cherche à instaurer le royaume du Christ en tout domaine.

Le modernisme pontifical est le principal objet du deuxième livre d’accusation de notre Père, dont le labeur acharné de docteur de l’Église a préparé les voies à sa renaissance.

La Phalange, fondée par l'abbé de Nantes, est un mouvement religieux, mystique, qui cherche à instaurer le royaume du Christ en tout domaine.

L’armistice entre le cardinal Ratzinger et Mgr Lefebvre, qui fait l’impasse sur la doctrine, n’aboutira pas. Et Dieu châtie le monde avec le sida et la banqueroute mondiale.

Bilan de notre Appel au jugement de Dieu, de l’année à Rome et dans l’Église, des USA de Reagan et d’une France en période électorale... Explosif !

Après l’échec de nos prières et la désertion d’un certain nombre d’amis, fuyant le faux prophète, il faut répondre. Et c’est une belle réponse théologique, pleine d’espérance, dans nos temps de débâcle.

Sous le pontificat de Jean-Paul II, dont les actes et les paroles justifièrent deux nouvelles démarches d’accusation, l’abbé de Nantes développa toute une doctrine de renaissance catholique.

Demandons à Jésus ressuscité de nous purifier de nos mauvais penchants, nous mais aussi l’Église, empoisonnée par le mauvais levain du modernisme. Que le Ciel entende notre appel !