Jésus a répondu toute sa vie à la haine par le pardon, mais cela lui coûtait. Il souffrait d’une sorte d’écartèlement de sa nature humaine et de sa nature divine ; et dans son désarroi intime, il avait besoin de prier son Père.

Après les ténèbres, un flot de lumières jailli des Prophètes et des Évangiles sur tous les points niés par Hans Küng et qui nous fait aimer, adorer et remercier notre Sauveur !

Faux d’accuser l’Église d’avoir inventé après coup dogmes, sacrements et morale ! L’étude parallèle de Marc avec le catéchisme prouve que tout est déjà dans l’Évangile !

Première surprise : de Dieu le Père, il n’est pour ainsi dire pas question dans l’Évangile. Bien plus, Jésus, par sa parole et par ses actes, se substitue à Lui...

Au moment même où Juifs et Romains jugent Jésus, c’est Lui qui les juge, pour l’éternité...