Frère Bruno applique ici les découvertes archéologiques d’Emmanuel Anati au Livre de l’Exode, et répond à toutes les questions qui se posent sur la véracité des évènements.

Libérant les descendants d’Abraham d’Égypte, Dieu se constitue un peuple qu’il se consacre par les liens religieux d’une alliance. La religion de l’Ancien Testament est née, historique et divine.

Ce reportage d’Emmanuel Anati présente ses découvertes sur le vrai lieu du mont Sinaï. Cela conduit à une nouvelle datation de l’Exode et remet en cause bien des interprétations exégétiques.

Notre foi fermement établie sur la science archéologique et exégétique la plus sûre, suivons Moïse, de la théophanie du buisson ardent sur le mont Sinaï (Har Karkom), à la traversée de la mer des Roseaux et du désert.

Suivons Moïse puis Josué, du mont Sinaï à la Terre Promise, en puisant dans les richesses exégétiques et archéologiques accumulées par frère Bruno.

À certains hommes précis, en certains lieux bien repérés, Dieu apparaît aux hommes dès les origines : c’est ce que nous enseigne le Pentateuque.

Le mémorial est essentiel dans les Psaumes et dans l’Évangile. Paul superpose Ancien et Nouveau Testaments en montrant leur interpénétration avec une hauteur de vue qui adoucit les oppositions.

« L’histoire du monde, c’est la quête du pain… » Le pain qui est au centre du mémorial nouveau de Jésus, fondement de notre espérance, comme il était au centre du mémorial juif.

Saint Augustin ne veut connaître Dieu que par les Noms donnés à Moïse dans le Buisson ardent, gage de son Alliance.