En coupant l’Esprit « qui souffle où Il veut » des institutions de l’Église, les modernistes ont repoussé l’action du Christ qui a envoyé à son Église son Épouse, son Esprit pour la faire vivre de Lui et pour Lui.

Depuis 2000 ans, l’Église possède sans le savoir un trésor dans le sacrement du mariage. Il n’y a pourtant qu’à considérer la nature, lire attentivement la Sainte Écriture et écouter le Père pour en être ébloui !

La vierge consacrée – nouveauté du christianisme – s’explique parce que Jésus est son Époux, comblant sa nature féminine !

Avec les explications théologiques et linguistiques données, l’ordre des Trois Personnes dans l’œuvre de l’Incarnation est bien précisé !

Au bout de ma vie, je serai accueilli par cet Être, et dans la vie intime de Dieu à laquelle j’étais, depuis longtemps et sans le savoir, associé ! Sublime !

Le Ciel de sainte Thérèse : « Aimer, être aimée et revenir sur terre pour faire aimer l’Amour ! »
Quel génie métaphysique et mystique !

Jésus est-il ce Roi, ce Fils de David qui doit venir ? Pourquoi ignore-t-il alors tous les psaumes annonçant le règne messianique ?

Notre Père nous révèle le secret du Cantique de cantiques, si incompris, qui emprunte la figure et le vocabulaire de l’amour humain le plus ardent pour nous faire comprendre l’amour de Dieu pour Israël, son épouse pécheresse et repentie.

« Je suis fille de l’Église », disait sainte Thérèse d’Avila au soir de sa vie : gage plus sûr que ses visions !

Les « vanteries » de Paul ? : « C’est donc de grand cœur que je me vanterai, surtout de mes faiblesses, afin que repose sur moi la puissance du Christ. »