« Il n’y a pas de philosophie de l’histoire. Avec La Cité de Dieu, saint Augustin écrit la première théologie de l’histoire. » (Georges de Nantes)

Les rois capétiens du XIII^e siècle, tel David, ont usé de la clémence politique comme principe de gouvernement, selon l’augustinisme politique, à mi-chemin entre deux écueils possibles...

L’autonomie du politique et de la philosophie – au centre des débats du XIII^e siècle – ne signifie pas affranchissement de la religion. Les rois et les saints l’ont compris, pour le salut de tous ! Ce fut différent au XVII^e...

Notre projet : restaurer un pouvoir surnaturel d’un Roi très chrétien, aidant Pape et évêques dans leur rôle. Non pas concurrents, mais complémentaires !

Un petit cours de philosophie pour comprendre les tenants du combat philosophique qui se déroula au XIII^e siècle entre deux tendances dont l’enjeu était la Sagesse !

Le passage de la religion à la politique se fait par la reconnaissance de l’empire souverain de Jésus-Christ et de sa divine Mère sur toute société. La politique réelle, c’est le combat entre la Cité de Dieu et la Cité de Satan.

Cette conférence philosophique sur saint Augustin fera comprendre les enjeux du choc que constitua au XIII^e siècle l’arrivée d’Aristote : jusqu’alors, toute la religion du Moyen Âge était augustinienne...

Des papes remarquables – Grégoire VII et Urbain II – vont lutter héroïquement pour réformer le clergé et rétablir la souveraineté pontificale, avant de lancer la Chrétienté dans la Croisade !