Cette sévère rétrospective s’attache à montrer comment le cardinal Ratzinger fut le garant de l’œuvre désastreuse conduite par Jean-Paul II. Il n’intervint jamais pour convaincre le Pape d’accomplir les demandes de Notre-Dame de Fatima et laissa partout démocrates-chrétiens, libéraux et progressistes occuper tous les postes de l’Église. Nommé préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, il refusa d’accomplir son office d’inquisition.
En parfait moderniste, il semblait n’avoir qu’un souci : prévenir toute réaction de Contre-Réforme. L’attitude qu’il adopta vis-à-vis de l’abbé de Nantes n’empêcha cependant pas notre Père de dénoncer son hypocrite stratégie.