Notre histoire volontaire juge des événements politiques et religieux de la France par rapport à notre absolu : son Alliance avec Dieu en Jésus-Christ, vrai Roi de France. Les dix ans de révolution ont détruit l’ordre ancien, dès les premiers mois, accumulant des crimes jamais reconnus ni vengés. La mort de Robespierre n’y met pas un terme : les catholiques restent sous le couperet des différents serments, nouveau mode de gouvernement tyrannique qui les divise ; ils auraient pu restaurer l’ordre monarchique sans le génie satanique d’un Bonaparte sauvant la révolution en mettant le Pape dans son jeu...