Église et science font cause commune dans la première partie du siècle et les savants veulent réfuter les libertins. Sœur Bénédicte en présente deux : Descartes, qui se fonde sur la raison et Pascal sur le cœur. Mais le génie de ce dernier fut détourné par son jansénisme et son engagement total à Port-Royal, au point de pourrir la première partie de son apologétique, en écrasant l’homme et sa raison : c’est la partie la plus connue. Mais il est magnifique dans sa Connaissance de Jésus-Christ ! Et dans une langue ! Mais convaincra-t-elle les libertins rendus sceptiques sur les capacités humaines ?