Chaque dimanche, chaque grande fête liturgique, rejoignez la chapelle de la maison Saint-Joseph, pour écouter notre Père vous prêcher la religion catholique dans la vie concrète du peuple.
Avançons vers Noël, remplis de componction devant nos fautes, car la colère de Dieu se changera en pardon !
Ô Marie, puisque Dieu vous aime tant, aimez-nous de la même manière ! Faites-nous participer à quelques-unes de vos richesses !
Tant est notre culte et notre pratique des Commandements divins, tant sera grande notre joie à Noël !
À la suite des Justes de l’Ancien Testament qui espérèrent ce jour dans la joie, réjouissons-nous et soyons bienveillants : voici l’Emmanuel !
Vivons entre Marie et Joseph à Nazareth, puis Jérusalem et Bethléem, recueillons-nous et méditons sur ce Signe de notre Nativité éternelle !
Qu’y a-t-il de plus grand que notre Roi dans la Crèche, entouré de ses saints parents ?
Admirons, aimons, remercions.
Redisons la vérité catholique sur Noël, rejetée par juifs et musulmans : l’Enfant de la crèche est Fils de Dieu, venu pour être Roi et Sauveur du monde.
Venons à la Crèche adorer le Fils de Dieu dans le corps qu’il a pris pour nous manifester sa nature divine.
Que souhaiter de meilleur que de vivre cette année dans la grâce divine, source de Salut manifestée dans le Christ ?
Le Nom de Jésus est porteur de son mystère : Dieu est notre Sauveur. Aimons à l’invoquer avec tendresse.
Il existe un temps pour la pauvreté et un temps pour la gloire. Mais nous allons vers la Gloire et l’Épiphanie est à venir !
Grand est le mystère de la famille, qui encouragera les parents à leur vocation, les enfants à leur soumission !
Attention ! Quand nous méprisons la vie pauvre de notre entourage, c’est celle de Jésus, Marie et Joseph que nous dédaignons...
Qu’est-ce qui peut bien, dans la vie d’un garde-barrière, le préparer à la Vie éternelle ???
Écoutez !
Mystère joyeux, mais tragique : c’est déjà l’Église qui, en Marie, pose sur l’autel l’Agneau sans tache.
Si quelqu’un doit décider de ma vie, je préfère que ce soit mon Père du Ciel plutôt que moi : plus sûr !
La vérité ? Jésus, Fils de David, savait qu’il montait à Jérusalem pour expier les péchés du monde !
Pendant le carême, mourons avec Notre-Seigneur pour ressusciter avec Lui !
« Saint » signifie « séparé ». Pendant le carême, les chrétiens sont appelés à se séparer du monde et lutter contre Satan avec l’aide de Jésus, notre modèle.
« Si vous ne faites pénitence, vous périrez tous ! »
« Sagesse aux yeux de Dieu, folie aux yeux des hommes », dit saint Paul.
Soyons fous pour être sages devant Dieu !
Être fidèle à la Vérité, au Bien et à la Justice dans un monde qui méprise la Vérité, déteste le Bien et fuit toute Justice, jusqu’au martyre.
O Crux, ave, spes unica ! Ô Croix, notre unique Espérance !
En dehors de cela, tout est illusion.
Il fallait ce – modeste – succès à Jérusalem où Jésus a droit de trôner comme Roi !
Jésus se donne à nous comme la Victime, seule capable de nous sauver et de nous ouvrir le Ciel.
Il fallait cette ampleur des souffrances du Christ pour que nous mesurions l’ampleur de nos péchés...
Les rites de l’Église nous font entrer dans le grand Mystère de la chute et du relèvement du pécheur.
La fête de Pâques représente le type de toutes nos épreuves : passer par la mort pour ressusciter avec le Christ !
Pâques n’est pas la fête du printemps, mais celle des retrouvailles avec Notre-Seigneur ressuscité !
L’homme moderne se trouve très bien : il n’a donc aucun besoin de miséricorde.
« Je suis la Voie, la Vérité et la Vie. » Jésus a maudit les mauvais pasteurs qui n’enseignent plus cette Vérité.
Nous sommes au Samedi saint de l’Église, attendant la Résurrection de l’Église avec la Vierge Marie.
L’Église mesure la sainteté de ses saints à leur ardeur au travail manuel, servile...
Ni l’orgueilleux ni l’égoïste n’aiment le travail manuel.
L’exemple de Jeanne d’Arc nous fait garder intacte notre confiance en Dieu, qui enverra ses saints le jour voulu !
L’Ascension est d’une importance vitale ! Comme Jésus est monté, Il reviendra pour instaurer son Royaume !
Une imagination pieuse qui soutiendrait notre Espérance : un retour de Jésus avant le Jugement dernier, pour aider son Église à établir son Royaume !
Avec le don du Saint-Esprit, « ne craignez pas, petit troupeau ! »
Méditons sur la magnificence d’un Dieu se révélant comme un Père, un Fils et un Ami !
Par le don de son Corps et de son Sang, Jésus veut nous être utile et agréable !
La Messe, c’est revivre le dialogue du Christ avec le bon larron : « Aujourd’hui, tu seras avec moi au Paradis. »
La finalité de la Communion offre un parallèle très frappant avec celle de l’union conjugale : fécondité, union et tendresse.
L’histoire de Dieu avec nous, c’est une histoire d’amour que Jésus nous a racontée !
Jésus voulut la blessure de son Cœur afin que nous comprenions de quel amour nous sommes aimés...
Jésus s’est acquis un trésor de grâces où Il désire que nous puisions sans cesse ! Il est notre palladium !
L’Église est le tout de notre vie parce qu’elle est la suite corporelle de Jésus !
L’Église est fondée sur les douze Apôtres : c’est eux qui la jugeront à la fin des temps !
Attention ! Pape et évêques ne sont pas des prophètes, mais des continuateurs fidèles et avisés de l’œuvre apostolique.
Par l’Église qui tire de nous le meilleur, nous irons au Ciel plus facilement, plus sûrement et plus parfaitement.
La religion consiste, pour nous créatures, à faire ce que notre Créateur nous commande !
Dieu nous a voulus laborieux, reprenant notre travail de conversion chaque jour par les sacrements !
Sachons prier la Vierge, dans ses Mystères, ses pèlerinages, ses fêtes ! Elle est notre Mère si aimante !
Avec et par le baptême, je vous clair pour toute ma vie !
La Confirmation achève l’œuvre du Baptême en se donnant à chacun pour réaliser sa fonction propre, et à tous pour brûler d’Amour !
Le chrétien peut et doit être heureux et paisible dans les tourmentes : nous avons de quoi y faire front !
Ce que les saints ont fait de leur vie nous est possible, si nous imitons leur confiance en Dieu.
Le fondement de la pénitence, c’est l’expiation par la Croix de Jésus.
Ces obligations, protectrices, vont dans le sens du meilleur de nous...
Le raisonnable est le fondement de l’aimable et du cordial !
Rien n’est plus grand qu’une vocation reçue de Dieu !
Admirons l’Église, toute tendue vers le service de Dieu et désirons entrer dans ce service !
Notre-Dame de la Sainte Espérance, convertissez-nous ! Notre conversion est toujours à faire, refaire, parfaire !
Grâce au chapelet, je supplie Marie de faire passer ses sentiments dans mon cœur, pour m’unir à Jésus.
L’avènement du peuple-roi a détrôné le Christ. Pourtant Il est Roi ! Craignons-Le !
Le paradoxe du chrétien sur terre : sanctifié par la grâce, il est déjà au Ciel !
La communion des saints : admirable Espérance de la Béatitude céleste !
Faisons nôtre la profession de foi de sainte Thérèse d’Avila : « Je meurs fille de la sainte Église romaine. »
Ces poilus, ni saints ni impies, furent un peuple d’Évangile, attaché à ses fidélités, que Jésus a sauvé.
La fin du cycle liturgique, l’automne : paraboles de la fin de notre vie qui nous appellent à méditer sur le Ciel, aidés par l’Église !
Où allons-nous après notre mort qui est un passage ? Nos Anciens, instruits par l’Église, vivaient dans la consolation spirituelle.
L’Immaculée est au commencement et à la conclusion de notre vie, donc de notre année liturgique !
