Alors que les hommes d’Église se réjouissent de ce que : « La Chrétienté, c’est fini ! », toutes les homélies et les conférences du camp Notre-Dame de Fatima ont prouvé au contraire que tel est le dessein de Dieu depuis toujours.
Notre Père nous délivre de nombreux enseignements sur la liturgie, en évoquant ses souvenirs d’enfance et en décrivant les basiliques romaines, faites pour les grandes cérémonies. Si elles sont vides aujourd’hui, c’est qu’il faut reconstruire l’Église des âmes...
L’Histoire sainte, des origines à l’Apocalypse, est une “ histoire de famille ”. Et c’est ce que frère Bruno nous retrace en nous faisant entrer dans les desseins de miséricorde de notre très chéri Père Céleste entreprenant la laborieuse reconquête de ses enfants révoltés. C’est le drame et la beauté de l’histoire du Salut par la Vierge Immaculée de qui a voulu naître Jésus-Christ, le Fils de Dieu, pour lutter contre Satan et nous sauver du feu de l’enfer.
Dans cette conférence, frère Bruno explique les ressorts d’une histoire embrouillée par le “ religieusement correct ”. En effet, l’expansion de la religion chrétienne se heurte au judaïsme antichrist, inspirant persécutions romaines puis hérésies et schismes.
Dans ce sermon prononcé en août 2002, frère Bruno nous explique qu’au-delà de la puissance d’évocation des vers de Corneille à laquelle notre Père était si sensible, rien de mieux que cette pièce ne peut raviver la foi de notre baptême et nous exhorter au martyre en ces temps d’apostasie.
Notre Père nous découvre, en saint Irénée, un saint de contre-réforme, dans ce qui fit l’essentiel de sa vie : la lutte contre le gnosticisme, hérésie triomphante dans l’Église aujourd’hui. Il fut aussi l’apôtre de l’apaisement entre Grecs et Latins sur la date de Pâques.
Notre Père a si bien compris saint Augustin qu’il peut sans peine prêcher selon le cœur et le style de ce grand évêque, mystique et humaniste, dont il vécût, dans un parallèle si étonnant, les mêmes combats, au service des mêmes causes et pour le même amour.
Frère Sébastien tire le meilleur parti des travaux de frère Bruno et nous conduit dans le dédale des palais où les influences juives, musulmanes et chrétiennes hérétiques serpentaient auprès des empereurs byzantins qui proscrivirent le culte des saintes images de 726 à 843.
En s’appuyant sur les travaux de traduction du Coran de frère Bruno et sur ses articles d’archéologie et d’histoire parus dans La Contre-Réforme Catholique, cette conférence dévoile les origines chrétiennes de “ l’hérésie des Ismaélites ” ainsi que les circonstances de l’apparition du Coran, de la guerre perso-byzantine à saint Jean Damascène.
À travers l’évocation de pape saint Grégoire le Grand et de l’empereur “ saint Charlemagne ”, frère Grégoire nous fait assister à la naissance d’un ordre nouveau. C’est la Chrétienté, chef-d’œuvre de l’action heureusement concertée du Saint-Siège et des rois des Francs.
Saint François fut l’un des saints les plus amoureux du Christ et à son tour, il fut le plus aimé de tout le petit peuple chrétien. Ses vertus évangéliques conquirent son siècle et devinrent le levain de la renaissance catholique au Moyen Âge.
À partir du du XIe siècle, la Chrétienté s’épanouit merveilleusement : nos nations chrétiennes s’affermissent sous l’influence des grands ordres religieux, grâce à l’action de grands rois et de sages pontifes, jusqu’à connaître l’apogée du treizième siècle, sous le règne de saint Louis.
La Chrétienté médiévale est une merveille : unité, sainteté, catholicité et apostolicité étaient les qualités intimes de cette société intégralement chrétienne, vivifiée par le Saint-Esprit répandu dans les âmes. Cela nous dicte notre fierté d’appartenir à l’Église !
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