Dans la ferveur de notre consécration à l’Immaculée, comment allons-nous vivre l’adoration des Rois mages devant l’Enfant et sa Mère ? Il faut choisir !
Il n’y a qu’un seul baptême, celui du Christ, répond saint Augustin aux donatistes de tous les temps. Mais que penser de la colombe ? Écoutez le Père !
L’âme des plus petits en vue de leur salut éternel, tel est le souci pressant de saint Jean Chrysostome, rappel bien venu en la fête de saint Jean Bosco !
Le grand saint Augustin vient apporter tout son poids de docteur de l’Église à l’intuition du Père sur la préexistence de l’Immaculée Conception ! Un grand moment !
Le chapelet, dans ses différents mystères, nous fait suivre l’évolution normale de la vie : de la joie de l’enfance aux souffrances de l’âge adulte. C’est la clef de notre fidélité !
Saint Jean Eudes, par ses méditations sur la Vierge Marie, nommée Ciel des cieux, fait le pont avec saint Augustin explorant ce même mystère et conforte ainsi la méditation du Père sur ce sujet brûlant !
Comment tenir notre cahier phalangiste ? Le Père nous en indique les trois axes et se fait notre professeur pour transformer notre oraison en acte de tendresse, mais bâti sur une idée.
Revenu de sa dernière hospitalisation, le Père établit une analogie entre les souffrances propres à l’univers médical et celles de la vie mystique. Le but en est le Ciel !
Le récit de l’Annonciation par Saint Luc nous donne à admirer dans la Vierge Marie la simplicité de l’enfant, l’ignorance de ce qu’elle ne doit pas savoir et l’abîme de sa Sagesse.
Les propos stupéfiants de Jésus au cours de ses altercations avec les juifs révèlent son âme, sa force, sa sagesse et sa pénétration, uniques au monde ! Aucun homme ne pourrait parler ainsi !
Le Père se fait très pédagogue pour expliquer à son jeune auditoire les suites de la résurrection de Lazare et battre en brèche quelques idées reçues !
De Béthanie au Parvis du Temple, au jour des Rameaux, Jésus médite sur sa Passion toute proche : restons près de Lui pour Le consoler, bien aidés par le détail des explications !
Comment Jésus et l’Esprit-Saint peuvent-ils être présents dans une âme, distincts et pourtant Un ? Lucie-Christine, vraie mystique, l’éprouve sans pouvoir l’expliquer. Ce sera notre béatitude céleste !
Après le récit de saint Jean, complété par les Synoptiques, et la conversion de l’Apôtre à la vue du Suaire, nous sommes reliés aux Apôtres directement !
Nous apprenons grâce à saint Luc, médecin grec très précis, comment les Apôtres ont réagi à l’apparition de Jésus et, grâce à saint Jean, comment Notre-Seigneur a semoncé Thomas et a pensé à nous !
Georges, Michel, Gabriel, cavalier et archanges, représentent l’amour et la force composant l’infinie sainteté de Dieu ! Et la Vierge Marie, toute miséricorde, écrasera aussi Satan !
Saint Marc rapporte de façon passionnée, touchante et sans artifice littéraire ce que Pierre racontait de Jésus : sa vie tragique, pour nous apprendre que le bonheur n’est pas sur terre mais avec Lui dans le Ciel !
Saint Pierre Canisius : 40 ans de labeur sans relâche pour lutter contre l’hérésie luthérienne, rendre l’Allemagne à la Foi et promouvoir un humanisme catholique !
La vie de saint Pierre Canisius toute donnée aux œuvres, au milieu de mille périls, dans l’union à Dieu et l’obéissance, prouve la supériorité de l’extase des œuvres !
Les mystères du Rosaire figurent les éléments de toute vie. N’éludons pas les douloureux, que nous rappelle le mur de notre chapelle : en les méditant, nous sauverons les âmes et aimerons Jésus et Marie !
Avec la découverte de l’exégète allemand Ernst, de la fusion de deux discours en un seul, les incompatibilités, dans le discours après la Cène rapporté par saint Jean, s’expliquent très bien.
Faisons nôtres les recommandations très réactionnaires de saint Pierre à ses chrétiens, qui doivent rendre témoignage de leur bonne conduite dans un univers païen hostile. Leçons vraies pour nous aussi !
Le Saint Suaire comble l’aspiration voulue par Dieu depuis des siècles à Le voir, Lui, pour renouveler notre piété et convertir les âmes ! C’est à notre génération, par la photographie, que cette grâce est donnée !
Avec les enseignements de saint Jacques et saint Cyprien, apprenons à aimer la patience pour l’acquérir, la garder avec soin, à l’imitation de notre Père du Ciel si patient avec nous !
De deux phrases apparemment opposées de l’Évangile, le Père fait jaillir une vérité savoureuse, expérimentée devant le Saint Suaire de Turin : finies les explications ! On adore parce qu’on aime !
Le Père avoue une déception que d’autres ont pu éprouver devant le “négatif” qu’est le Saint Suaire, que nous adorons. C’est le même mystère de foi qui saisit le fidèle devant la Sainte Eucharistie…
Le Père livre ses perplexités et tourments pour venger l’honneur de la Vierge Immaculée, outragée par l’Église conciliaire. Il veut lui accorder la place éminente qu’Elle mérite, dans le Credo même !
L’Immaculée est un mystère à Elle toute seule ! L’apparition de Jésus à Elle en premier, avant Pierre, l’illustre à merveille, n’en déplaise aux modernistes !
Quelle familiarité exquise de Notre-Seigneur avec son amie intime lorsqu’il lui révèle, à sa demande, la teneur de son discours avant l’Ascension, trois cents ans avant les travaux de Ernst !
Comprenons bien les paroles de saint Jean rapportant les propos de Jésus à ses Apôtres à l’Ascension, telles que Jésus lui-même les a attestées : il ne cesse de revenir à nous par son Eucharistie !