Dans les ténèbres de l’exil, le chapelet fut le recours constant du Père, décidé à redevenir petit enfant dans les bras de Marie pour l’ultime combat pour la Vérité.
Le scapulaire est un petit mystère que le Père développe avec bonheur, dans son désir unique et ardent de faire plaisir à la Sainte Vierge !
L’actualité de l’Église, que le Père redécouvre après son exil consacré à la ré-étude du Concile, est accablante : c’est le temps de l’apostasie. La maison Saint-Joseph refusera de plier le genou devant la Bête.
Le Père veut nous émouvoir d’amour pour Jésus, Marie et Joseph et nous faire pénétrer la sagesse divine dans la disposition des événements de la naissance du Christ, car tout est important !
Allons à la Crèche et inscrivons notre foi dans celle des juifs d’Ancien Testament puis des chrétiens en passant par les Mages aux cadeaux si symboliques ! Jésus et Marie : notre joie et notre richesse actuelles !
L’honneur de la puissance et la gloire de la passion, voilà ce que reçut saint Pierre venant à Rome et que recevra le futur grand Pape réformateur !
Aveuglons-nous volontairement sur les distractions mondaines pour être en relation avec Dieu par la foi et goûter l’illumination de Pâques !
« Je suis l’Immaculée Conception » ! Voilà la nouveauté de Lourdes qu’à la suite d’autres saints le Père veut explorer pour la plus grande gloire de Marie !
Un sermon sévère sur la vraie pénitence du Carême des adultes : changer de conduite en luttant contre son inertie intellectuelle et sa sensualité, mères de tous les vices et qui mènent en enfer.
Aimons Jésus, soyons humbles et apprenons de Lui comment résister aux tentations pour gagner le Ciel !
Redécouvrons avec l’Évangile de la Transfiguration la grandeur de Jésus et le but de notre vie : aller Le retrouver ! Notre époque, où se multiplient les suicides, a besoin de cette leçon, rappelée par saint Paul !
De nos communions réparatrices, le Père explique bien l’intention première : non pas notre propre salut comme on le croit trop souvent, mais la consolation de Jésus et Marie outragés.
À la différence des chœurs cisterciens, notre chœur, par tous ses signes sensibles propres à la devotio moderna, nous fait comprendre et aimer tous les articles de notre Credo !
Même en imaginant la femme adultère insulter Jésus sur le chemin de la Croix, sachons que la puissance de pardon de Jésus est infinie...
Aimons méditer les Chants du Serviteur souffrant dont les lumières tragiques nous font pénétrer dans le mystère de notre rédemption.
Ayons une forte dévotion pour saint Joseph, très doux et très bon, mais aussi tout-puissant, de la puissance même de Dieu !
Entrons, avec Marie et les saintes femmes au pied de la Croix, dans le mystère de la compassion et réparation pour le salut des âmes.
Établissant un parallèle saisissant entre le bois qui perdit l’humanité par le péché originel et le Bois qui nous valut la Rédemption, le Pange Lingua nous parle pourtant des mystères joyeux. Paradoxal ?
Écoutons notre Père nous décrire la procession des Rameaux, afin de la suivre avec joie et chanter les cantiques de tout notre cœur pour l’honneur et la gloire de Jésus notre Roi !
Par cette hymne, l’Église nous invite à suivre les saintes Femmes, dans leur compassion amoureuse pour Jésus sur la Croix, arbre dont les feuilles, la fleur et le fruit nous ont mérité le Salut.
Chantant le Vexilla Regis, soyons fiers de notre Maître et, comme lui, portons courageusement notre croix dans le combat contre le démon.
Notre hiérarchie actuelle commet le même crime que les juifs perfides, d’hier et d’aujourd’hui, en assujettissant la religion au monde. Mais Jésus est le plus fort !
Jésus est ressuscité ! Oui, mais n’oublions pas ses mystères douloureux. O Crux ave, spes unica !
Les consignes de Jésus, avant de remonter au Ciel, sont nettes : enseigner, évangéliser la terre entière et croire. C’est la condition de salut, n’en déplaise aux modernes.
Notre Père découvre dans les apparitions de Notre-Dame de Tre Fontane un appui inattendu pour sa théologie mariale !
L’incendie de la cathédrale de Turin et les émissions d’Arte sont des coups mortels portés par les ennemis de l’Église.
Comme la famille Goretti, comprenons à chaque nouvelle épreuve que c’est notre salut et celui des âmes qui s’opèrent...
Avec ce grand saint jésuite qui controversa toute sa vie contre le protestantisme et pour l’exaltation du catholicisme, nous avons un modèle de saint de Contre-Réforme au XXIe siècle !
La grande leçon de Pâques et des mystères glorieux : on ne vit que pour Ciel, qui est un lieu, un palais magnifique, où Jésus va remonter glorieux !
L’hymne “ Rex sempiterne cælitum ” détaille tous les biens que le Fils de Dieu – joie pascale de nos âmes – nous a accordés. Soyons fiers de notre Dieu !
Quelle admirable mère qui, par ses prières et ses pleurs, enfanta son fils Augustin pour la terre et pour le Ciel !
Malgré les “ savants ” modernes, ne doutons pas de la vérité de l’Ascension. Jésus est réellement monté au Ciel avec son Corps et nous l’y rejoindrons si nous sommes fidèles !
Jésus remontant tout joyeux au Ciel ne nous abandonne pas. Réjouissons-nous de la joie de notre Maître et soyons sûrs qu’il nous prépare une place auprès de son Père pour notre joie éternelle.
La théophanie de Tuy, dont bénéficia sœur Lucie en 1929, nous révèle un Dieu en Trois Personnes pleines d’amour, qui nous engagent à la dévotion et à la confiance !
Un mystère, un scandale que l’Eucharistie ! Pour comprendre un peu, entrons dans la pédagogie d’un Dieu plein d’amour pour nous autres, pauvres pécheurs.
Par notre procession, une œuvre humaine de rien, nous plaisons infiniment à notre vrai Dieu !
Une bonne nouvelle ! La deuxième apparition de Jésus douloureux dans l’Hostie à Moure, en relation étroite avec Fatima !
Suivons les exhortations touchantes de saint Bonaventure, parlant du Cœur de Jésus, pour cultiver une tendre dévotion pour la Trinité Sainte, incluant la Vierge Marie !
Aimons et imitons la Vierge Marie dans sa pureté et son humilité !
Pour nous introduire dans le Cœur tout aimant du Père, du Fils et de l’Esprit-Saint, le Père use d’une parabole très suggestive des relations d’amour unissant ciel et terre ! Savoureux.
À partir du film La Fille des marais, le Père tire de profondes leçons de l’admirable vie de sainte Maria Goretti...
Ces béatitudes font la joie de Notre-Seigneur, heureux lui-même de la vertu de ceux qui cherchent à l’imiter jusque dans la persécution.
La libération miraculeuse de saint Pierre confirme la confiance absolue que nous devons avoir en notre Chef qui a libéré et libérera son Église !
Les martyrs si attachants de ce mois nous donnent rendez-vous au Ciel auprès de Jésus, pour reformer l’Église triomphante, qui est « Jésus répandu et communiqué » (Bossuet).
Comment comprendre la parabole de l’économe infidèle ? En se rappelant que Jésus la raconte en sachant – et lui seul ! – ce qui se passe après la mort et qu’il faut tout faire pour aller au Ciel !
« Sans moi, vous ne pouvez rien faire », a dit Jésus, repris par saint Paul. Le naufrage de notre société ne peut être conjuré que par la prière et la supplication.
Avec cette parabole si connue, tout le monde doit se sentir visé et faire son examen de conscience !
Quand les prêtres modernes oublient la prière, à l’encontre de tous leurs devanciers, ce sont les parents qui doivent sauver la religion en priant en famille.
Le bonheur de connaître notre Dieu incarné, Jésus, notre Samaritain, résout bien des recherches vaines et éthérées de l’union à Dieu, au XVIIe siècle… et maintenant !
Par la procession derrière la Sainte Vierge, dévotion qu’ont pratiquée beaucoup de religions, nous accomplissons un geste simple, mais qui plaît infiniment à notre Mère !
Le Père confie, très ému, son expérience, vécue tout au long d’une année terrible : le chapelet est l’instrument du salut des âmes et des sociétés.
Dédaignant les critiques que sa dévotion nouvelle pour l’Immaculée peut exciter, le Père s’y maintient et annonce même faire un pas de plus !
Écoutez pourquoi le Père nourrit une préférence pour les Capétiens et, parmi eux, pour Saint Louis !
La Vierge Marie se considérait tellement petite dans son admiration et son amour de Dieu, que son humilité même a ravi le Cœur de Dieu.
Prise en 614 par les Perses, rapportée par les Byzantins à Jérusalem en 628, la Sainte Croix est au cœur des origines historiques de l’islam.
