Plutôt que nous souhaiter « bonne année, bonne santé » et continuer à vivre tranquillement sous l’empire du démon, prions pour qu’advienne enfin le Règne tant attendu du Christ sur le monde entier !
Comme Jésus présenté au Temple a redonné courage et espérance au vieux Siméon, puisons l’assurance de notre Renaissance dans l’Enfant-Jésus et sa Mère en cette fête de la Chandeleur !
Le Père emprunte la voix de Marie Noël dans le poème Chandeleurpour évoquer l’orthodromie divine à travers le mystère des générations humaines... Impression puissante !
Comme les chrétiens d’autrefois, prenons très au sérieux les avertissements de Jésus sur l’Enfer qui existe, n’en déplaise aux prêtres conciliaires qui ne prêchent plus la vérité : malheur à eux et à leurs ouailles...
En évoquant un curé d’autrefois connu pour ses saintes colères afin de ramener ses ouailles au bercail, le Père loue la bonté de Dieu qui multiplie les moyens pour nous conduire au Ciel ! Écoutons-le !
Si ! Saint Joseph a aimé Jésus d’un vrai amour paternel : Bossuet nous en donne la preuve tirée de l’Évangile même. Et il nous aime comme ses enfants adoptifs !
Faut-il fêter l’Annonciation ou les Sept Douleurs de la Vierge ? Choisissons la compassion car notre Mère est infiniment plus mère au pied de la Croix !
Auteur
Frère Georges de Jésus-Marie
Contexte
Fête de l’Annonciation et de Notre-Dame des Sept Douleurs
Le récit de l’apparition de Jésus ressuscité aux disciples d’Emmaüs est absolument délicieux. Et pour cause ! Dans cet Évangile, c’est Jésus lui-même qui en est le peintre.