Angoisse, demande, confiance et action de grâce : voilà tous les sentiments que s’appliqua Marie, et nous à sa suite !
Nous aimons Jésus pour ses perfections de Force, de Sagesse et de Supplication !
Malgré l’or – réservé au Roi – offert par les mages à l’Enfant, les auteurs du CEC ne veulent pas de Jésus Roi de la société. D’où la malédiction divine...
En illustration du tableau de Stella, écoutez le dialogue imaginé de Marie avec son Fils retrouvé au Temple, oracle d’une sagesse mûre !
En refusant Fatima, les hommes d’Église se mettent au-dessus de Dieu et sabordent les meilleurs instituts !
La réponse bien interprétée de Jésus à Marie nous introduit dans le repos de l’âme et le secret de leur union !
Le CEC, catéchisme d’orgueil, commence mal : non ! l’Homme n’est pas capable de Dieu ! Il est créé par Lui !
Comme l’enseigne le miracle-parabole de la tempête apaisée, Jésus est notre SAUVEUR, dans toutes nos tempêtes !
À la suite de saint Ignace d’Antioche, allons avec ardeur vers le Christ par la Croix ! Telle est la vraie dignité de l’homme !
« Le salut dans l’Amour » nous serinent les prédicateurs ! Quel Amour ? Celui de notre SAUVEUR, pour notre salut !
En méditant les mystères joyeux de la Vierge, nous apprendrons comment Dieu l’a acheminée vers les mystères douloureux, et nous à sa suite.
Les Pères de l’Église ont trouvé dans les Grecs et l’Ancien Testament des figuratifs des évènements évangéliques : ainsi la Présentation de Jésus préfigurée dans Euripide et le Livre de Samuel.
L’admirable antienne de procession chante la Vierge portant la Lumière qui, seule, peut nous sauver ! Mais ce sera par la Croix...
Voyons comment nous identifier aux personnages de cette scène et imiter leurs vertus !
Contre Nestorius niant la divinité du Christ et la maternité divine, saint Cyrille se dresse !
Lourdes (avec Fatima) nous jette dans l’intimité des mœurs de la Sainte Vierge, pour nos temps d’Apocalypse !
Qui nous interdit de penser que la Vierge Marie fut l’objet d’une création éternelle de Dieu ? Écoutez l’argumentation, qui vous laissera libre d’y croire !
Comme la Vierge Marie qui savait et souffrait, ayons compassion du Cœur de Jésus, seul à porter son souci de Rédemption...
Entrons dans le carême, cette grande marche vers la perfection, de grand cœur, comme nous y invite l’Écriture Sainte !
Double émotion au récit de la tempête apaisée : le texte en est attesté par le 7Q5 et nous sommes dans une telle tempête !
Écoutez saint Grégoire expliquer les phases de la tentation à laquelle Jésus a voulu se soumettre au désert, pour nous apprendre à y résister !
Le silence du CEC sur Fatima et la révélation des fins dernières est offensante pour le Ciel et désolante pour nous. Consolons le Cœur de Marie en ce premier samedi du mois !
Dans notre âme, par la contemplation, se trouve la paix que les affaires terrestres ne peuvent nous donner !
Voici la parabole de l’enfant prodigue dans laquelle le fils aîné marche sur le cœur de son père, figuratif du peuple juif s’endurcissant contre Jésus...
Le Père nous donne dans les deux Joseph les exemples de la pureté négative, dépassée par la pureté positive dont le modèle est Jésus !
Au cours de l’échange plein de noblesse et de courtoisie et même d’humour, Notre-Seigneur se montre un admirable Maître !
Le texte grec originel de l’Annonciation permet de rétablir la vérité théologique du Mystère : la génération virginale vient bien du Père !
Imitons Marie dans sa réponse à l’appel de Dieu !
Avec les explications théologiques et linguistiques données, l’ordre des Trois Personnes dans l’œuvre de l’Incarnation est bien précisé !
Mettons-nous dans le rang des aveugles pour être sans péché devant le Christ et obtenir sa miséricorde !
Revivons la vie de Zachée bouleversé par la rencontre de Jésus, et répondons à l’amour de notre tendre Sauveur qui passe dans notre vie !
Notre démarche romaine est en accord avec le message de Fatima et notre service du Saint Suaire !
À travers les joies et peines de tant de mères et d’épouses, Dieu nous introduit dans le mystère du Cœur douloureux de la Vierge Marie dans la Passion. Admirons-la et aimons-la.
La malédiction de Jésus contre scribes et pharisiens est toujours actuelle ! La vie est tragique. À la veille de la Passion, convertissons-nous !
Le CEC dissimule l’aspect tragique des Rameaux pour privilégier un triomphe gentil réservé à Jésus. Or un choix terrible se présente à nous...
Devenons l’intime de Marie-Madeleine pour l’admirer, l’aimer et comprendre son amour de compassion pour Jésus.
La résurrection de Jésus est un FAIT, auquel nous croyons sur les témoignages de saint Luc et saint Jean !
Méditons le récit ancien de cet Amphion, disciple fictif, témoin de la vie et de la mort de Jésus !
L’homme n’est grand que par le cœur qu’il montre dans ses luttes, comme Jésus sur le Chemin de la Croix : soyons ses disciples !
Leçon de tous les peuples et de nos propres vies : par l’épreuve, le fils d’Adam devient le fils du Christ.
L’interprétation du Corps ressuscité de Jésus dans le CEC est contredite par l’homélie de saint Ambroise !
N’ayons ni inquiétude ni présomption devant la prédestination : le Bon Dieu s’occupe de ses enfants !
Comment accomplir sans trembler la démarche romaine contre le CEC ? En suivant les conseils de Paul à Timothée, par notre union au Christ qui la mènera, Lui !
Le Saint Suaire est-il beau ou laid ? Si j’aime Jésus, je le trouverai beau !
Jésus est surtout le Beau et le Vrai Pasteur contre les faux pasteurs d’hier et d’aujourd’hui : suivons-Le !
Le 13 mai, le Père sera appelé à témoigner de Jésus comme saint Paul le réclama et l’obtint de Festus !
L’enseignement du CEC sur le Ciel, à côté de très beaux textes, contredit la vérité de la foi et supprime tout désir de ce Ciel que Jésus a évoqué en de si belles images !
À mesure que se rapproche le 13 mai, l’angoisse de manquer à la Vérité est une vraie torture dont la force de sainte Thérèse est le remède.
Récitons notre chapelet durant notre pèlerinage à Rome : on voit la Vierge, on respire le Saint-Esprit qui habite en Elle !
De retour de Rome, la décadence évidente de Rome n’ébranle pas notre foi en l’Église, car nous ne sommes ni hérétiques ni schismatiques !
Le sermon de saint Ambroise sur la Résurrection de Jésus et la nôtre confond le CEC et nous donne le désir du Ciel !
Le CEC place tout le monde au Ciel, sans distinction de l’ordre naturel et surnaturel ! Erreur prodigieuse qui rend inutile le baptême !
Prenons le texte de saint Jean comme toute la tradition l’a toujours compris : Jésus y insiste sur les lieux et ses déplacements entre terre et Ciel !
Jésus est monté au Ciel : telle est la Vérité toujours professée par l’Église qui nous dicte le sens de notre vie : nous allons au Ciel ! Honte au CEC qui nous en détourne !
Jésus prend congé de ses Apôtres avant de remonter au Père en une prière émouvante qui condense la merveilleuse vérité chrétienne !
En face des splendeurs du Saint-Esprit dont le CEC gratifie tout homme, restons modestes et demandons la grâce de rester en état de grâce pour aller au Ciel !
Savourons le mystère de Bon Plaisir divin comme la décision la meilleure pour nous et adorons-le !
Le Romancero chante les préparations dans la création du Mystère, inaccessible, de la Sainte Trinité !
Saint Thomas, dans cette hymne, exprime la richesse du mystère eucharistique ! Une perfection de forme et de fond !
La leçon des paraboles est la plus simple du monde : notre vie prend son sens par rapport à la Vie éternelle !
Non, le mystère de l’Eucharistie n’est pas une invention du Moyen Âge ! Saint Jean Chrysostome l’enseigne avec puissance et vérité !
Derrière Jésus-Hostie, notre Roi, nous formons un cortège d’amour reconnaissant et confiant !
Sans l’union intime de Jésus et Marie, nous ne pourrions avoir accès à l’amour de Jésus !
Pour comprendre le lien entre la Fête-Dieu et celle du Sacré-Cœur, écoutons saint Cyprien rapprochant Melchisédech et Abraham !
Découvrez le secret du Cœur de Jésus révélé à Lucie-Christine ! Source de consolation et d’Espérance !
Comment ne pas aimer Jésus au Cœur transpercé d’amour pour nous ?
Prions pour le Pape qui peut faillir comme le prouva Honorius Ier, condamné par son successeur, saint Léon II !
Le calvaire subi et accepté par la famille royale au Temple nous permet de mieux nous représenter le calvaire subi par la Vierge pendant la passion de son Fils...
Dieu, le Ciel, l’amour de Jésus et du prochain, voilà résumée dans cette oraison toute notre religion !
Avec saint Ambroise, imitons l’admirable contrition de David après que le prophète Nathan lui a révélé sa faute...
Célébrer le premier sang innocent versé, non vengé, doit susciter le dégoût pour un tel régime...
La prière de sainte Bernadette – un vrai traité de théologie ! – nous emporte le cœur vers le Ciel !
Saint Augustin aborde et résout la délicate question des rapports de l’amour de Dieu et du prochain, dans ses rapports avec la Foi, l’Espérance et la Charité.
Soyons sûrs d’être en union d’affection avec Jésus, Marie, Joseph, qu’ils acceptent ou refusent nos demandes !
Demandons à Marie-Madeleine de nous guider dans la voie de l’Épouse du Cantique des cantiques !
À la suite de saint Paul, rejetons notre monde corrompu en adoptant les mœurs simples et pures qui plaisent à Dieu !
Ne craignons pas d’adorer la Vierge Immaculée. En effet, à la suite de tous les saints, jamais nous ne chanterons assez les louanges de Marie, jamais nous ne pourrons concevoir ses inconcevables perfections.
Celui qui s’accuse, Dieu l’excuse ; celui qui s’excuse, Dieu l’accuse !
Admirons la force des martyrs et demandons à Dieu de bénéficier de sa sollicitude le moment venu !
Prions pour le Pape, qui veut canoniser Paul VI, l’exact opposé de saint Pie X !
Chez les Grecs, nous trouvons les germes de la religion unique remontant à Dieu par l’Amour de la Trinité pour l’Immaculée !
Faisons plaisir à la Sainte Vierge en nous promenant avec Elle dans le parc et demandons-lui sa protection dans un monde mauvais.
Entrons dans la signification du mystère si attrayant, bouleversant du Cœur de Jésus et Marie !
Admirons la vie excessivement pénitente de sainte Rose de Lima et retenons bien les leçons simples et fortes que le Père en tire à notre usage.
Nous avons en saint Pie X le docteur de l’Église qui s’est dressé pour la sauvegarder du modernisme : suivons-le !
Apprenez les raisons pour lesquelles le Père a remplacé Je vous salue Marie par Je vous aime ! C’est savoureux et, à l’heure de Fatima, réparateur !
Dans la veuve de Naïm pleurant son fils mort, Jésus a vu la douleur de sa Mère... Ainsi entrons-nous dans le Cœur du Fils et de sa Mère.
Courage et compassion de Jésus nous sont révélés dans l’Évangile du jour. Suivons notre Maître dans cette voie étroite !
Aimons notre prochain d’une charité hiérarchique : Jésus et Marie, puis tous leurs représentants jusqu’aux pauvres de notre Église !
Dans le malheur des temps, mais en la fête du Rosaire, imaginons le bonheur qui nous attend en 1996 !
Entrons dans les raisons profondes de notre admiration pour la Vierge Marie, unie à Jésus qui nous la donne pour Mère !
Avec sainte Marguerite-Marie, découvrons le Cœur de Jésus et prenons notre croix avec allégresse pour participer au salut des âmes !
Avec saint Bède le Vénérable, débordons d’enthousiasme pour la Vierge Marie, créature plus divine qu’humaine !
Chantons les gloires incomparables de Marie avec saint Jean Chrysostome, sûrs de trouver réconfort et soutien en Elle, si petite et si grande à la fois !
Avec sainte Thérèse, écoutons les Voix de Jeanne au Ciel qui l’appellent à revenir sur terre pour sauver la France pénitente !
Avec saint Augustin, l’Église nous fait penser d’abord aux âmes des défunts, mais aussi à leurs corps qui ressusciteront et formeront la couronne de gloire de Jésus et Marie !
Le miracle de Jésus pour la fille de Jaïre devrait indiquer au Pape le remède pour ressusciter l’Église : revenir à Jésus !
Fixons le Ciel, l’unique but de tous nos travaux et aussi de nos désirs, où nous attendent tous nos proches et tous les saints autour de Jésus et Marie !
La vie est dramatique et le jeune homme riche joue son salut éternel dans cette rencontre avec Jésus !
Cette hymne célèbre la Vierge, son dévouement à Dieu et la consécration du peuple prêtre à la Sainte Trinité.
Comme saint Pierre d’Alexandrie a lutté contre l’arianisme, ainsi saint Pie X contre le modernisme ! Et la victoire est venue, donc viendra, par un concile réparateur !
Que de saintes virginales au XIXe siècle pour préparer le triomphe de la Vierge Marie et nous remplir de confiance !
Ce fils de saint Ignace est l’exemple majeur des missionnaires, tels que les a toujours compris l’Église !
En la fête de l’Immaculée Conception, pensons à l’éternité de Marie, présidant à la création des Anges et du monde, pour sa plus grande gloire et celle de Dieu Père !
Le rôle incomparable de la Vierge Marie dans le développement du drame qui se joue dans le temps justifierait bien sa préexistence...
N’opposons pas salut et amour pour la Vierge Marie ! Les plus grands papes et saints les ont unis dans une exultation intime !
Plus nous approfondirons notre connaissance amoureuse de la Vierge Marie, plus nous lutterons contre ses ennemis en bons serviteurs !
Avec saint François de Sales, reconnaissons et aimons dans les événements de notre vie la douce Volonté de notre Père céleste très chéri !
Voyons dans l’acte de foi de l’apôtre Thomas une exhortation à passer au Mystère : il y faut l’amour !
Non, saint Joseph n’est pas un pis aller pour sauver les apparences ! mais un vrai époux rempli d’amour conjugal pour sa véritable épouse !
Arrêtons-nous à la Crèche où Jésus a voulu être Enfant pour ravir nos cœurs et nous apprendre à devenir des enfants.
Vivons dans l’adoration ce temps de Noël qui nous donne à contempler le Mystère de Dieu dans l’Enfant de la crèche !
Toute l’épître de saint Jean est tournée contre l’illuminisme moderne de Vatican II ! Nous vivons dans la foi, non dans l’expérience vitale !
Dieu seul sait quand Il interviendra pour sauver l’Église ! Jusque-là, gardons la foi ferme dans sa venue !
