Série de prédications morales sur les péchés capitaux et leurs remèdes.
Pas de mystique sans consentement fidèle à la pratique du devoir d’état !
Contre la paresse, aimer la vie ! l’effort ! la réussite !
À trop faire attention à notre nourriture, nous risquons de tomber dans le matérialisme et l’impiété...
Comment lutter contre un instinct puissant, d’un maniement très difficile depuis Adam et Ève, qui perpétue la race humaine ? Écoutez saint Paul et son disciple !
La colère ? Un courant électrique traversant les nerfs et réclamant de se passer sur le prochain... De quoi nous en dégoûter !
Être détaché ? C’est mettre ses biens à disposition – aussi – des autres pour les en faire profiter !
« C’est par l’envie du Diable que la mort est entrée dans le monde », lisons-nous dans la Sagesse.
L’orgueil : « le sommet de la montagne ». Souvent tous les autres vices lui servent de piédestal. Mais, autosuffisant, c’est pire.
Croire en quelqu’un d’autre que soi ? Merveilleux remède pour l’orgueilleux qui ne croit qu’à son moi absolu !
La chasteté sans Espérance, c’est un joug sans amour !
L’Espérance sans chasteté, c’est une mystique sans ascèse !
Il y a plus de joie – et de beauté – à donner qu’à recevoir !
La prudence : un cadre vide à remplir de charité évangélique, parce que Jésus nous supporte sans mesure.
Le paganisme a ignoré la vertu de chasteté. Seuls, Jésus et Marie pouvaient attirer les cœurs et se les consacrer.
Écoutez bien les résolutions que le chrétien doit prendre dans ce domaine : neuves !
Quelle merveille qu’une règle de vie, imposée ou décidée, pour échapper à sa paresse multiforme !
Résolution du déprimé : « Tais-toi, menteur ! Cesse ta comédie ! Souris !... pour faire mentir en toi le menteur ! »
« Personne ne pèche en voyant Dieu, c’est-à-dire en ressentant un violent amour de Jésus. »
Et si aucun remède n’est efficace, reste toujours le chapelet aux « pauvres pécheurs » pour demander cette confiance dans le Christ et la Vierge.
