Dans la catastrophe de la victoire de la gauche aux présidentielles, notre Père, après ses avertissements inutiles, nous livre encore de salutaires leçons de confiance religieuse et de sagesse politique.
En la fête conjuguée de saint Michel et sainte Jeanne d’Arc, le Père, dans son sermon, exhorte les phalangistes à supplier le Ciel de sauver Nouvelle-Calédonie et France, en grand danger de périr.
Après l’échec de nos prières et la désertion d’un certain nombre d’amis, fuyant le faux prophète, il faut répondre. Et c’est une belle réponse théologique, pleine d’espérance, dans nos temps de débâcle.
La réélection de Mitterrand déchaîne dans l’Église les passions révolutionnaires, et la France est stoppée net dans son effort de redressement. Maintenant c’est trop tard, la débâcle est là.